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Bien que les divers travaux et
recherches des anciens aient été quelque peu
oubliés, du moins en Occident, cest à
lUniversité dHeidelberg, en 1935, que le
Docteur Hartmann émit lhypothèse
quun réseau électromagnétique
couvre lensemble de la surface terrestre. Il
nétait pas le premier, loin sen faut,
à effectuer des recherches dans ce domaine puisque
autant en Grande Bretagne avec Haviland, en France avec
Peyré et Chrétien, des constatations analogues
avaient déjà été
effectuées. |
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Plus d'un site archéologique
antique présente des preuves irréfutables d'un
alignement avec des phénomènes tels les levers
de SOLEIL aux solstices et équinoxes, les
couchers de LUNE aux maxima et minima de
déclinaison et, parfois, avec les étoiles ou
les planètes. L'archéoastronomie est
l'étude scientifique de ces alignements... |
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Pour les égyptiens tout
était donc planifié par les étoiles
selon les époques astronomiques. Le point vernal ou
0° Bélier équinoxe du printemps, est
ainsi appelé parce que ce mot vient du latin "
Vernales " qui signe Printemps. Ce point vernal se
déplace, dans le sens des aiguilles d'une montre,
à raison de 1° tous les
71,7
ans. Si on multiple ce nombre d'années par 30,
on obtient 2151
ans (une époque). |
Enorméments de sites archéologiques sont alignées sur un cercle de la taille d'un équateur incliné de 30° par rapport à notre équateur actuel comme le démontre Jacques Grimault dans la "Révélation des Pyramides". Cette courbe qui part de l'île de Pâques jusqu'à GIZEH fait partie d'une ligne de 40.000 kilomètres de long, soit un cercle aussi grand que l'équateur terrestre mais aligné à 30 degré de celui-ci, cercle d'une centaine de kilomètre de largeur et englobe de nombreux sites sacrés. Puis les civilisations continuent cette oeuvre avec des cercles pour marquer la précession des équinoxes. |
L'ile de Paque, les chandelier de Paracas, les pistes
Nazca, Ollontaytombo, Machu Picchu, Cuzco, Sacsayhuaman,
puis toujours au pérou par le site des pyramides de
Paratoari, en Afrique il englobe les sites des
égnigmatique Dogon du Mali, le site de Tassili
N'ajjer en Algérie avec son grand dieu marsien peint,
en Egypte par l'oasis de Siwa et son temple de ZEUS / AMON
puis ensuite par les pyramides de GIZEH. |
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Ce cercle a pour pôle nord un point précis
(quant on le calcule) et si l'on trace des lignes entre
Gizeh et Nazca avec lui on obtient un triangle aux
proportions exactes de la pyramide. La distance entre Nazca
et Gizeh est la même qu'entre Teotihuacan et Gizeh.
Même chose entre Angkor Vat et Nazca et Mdhenjd Dard
et l'île de Pâques ces 4 sites étant
situés sur le cercle. |
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Il existe un treillis de lignes
entrelacées qui se révèlent par leurs
traces physiques sur la Terre, différent du
système de méridiens et de parallèles,
mais par certains aspects, il présente quelques
rapports avec lui. Cela est redécouvert à
partir de la fin du 19e siècle. Au 19e siècle,
à peu près en même temps, plusieurs
personnes en Europe sont intriguées par la
disposition de certains lieux antiques ou lieux de culte qui
commençaient à susciter de
l'intérêt, et font quelques investigations
rudimentaires avec leurs propres moyens. |
En 1882, G. H. Piper fait une causerie
où il énonce que Si on trace une ligne depuis
la montagne Skirrid-fawr vers la Pierre d'Arthur au nord,
elle passe par Hatterall Hill, et les châteaux de
Oldcastle, Longtown Castle, Urishay et Snodhill. La
ligne de ley à Saintbury en Angleterre emprunte un
ancien chemin, passe par une croix médiévale,
une église saxonne, et un tumulus. |
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Quand ils détectent une ligne
de ley, Watkins et ses collaborateurs la remarquent par des
éléments du paysage physiquement
repérables. Puis en l'examinant plus attentivement
sur le terrain, ils trouvent d'autres éléments
moins visibles, parfois enterrés. |
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Après une période de vague oubli de l'existence des lignes de ley, John Michell leur apporte une contribution majeure dans son livre The View Over Atlantis (1969). Il y fait connaitre les observations de Watkins, les resitue dans un contexte plus large qui fait appel aux connaissances anciennes ... |
Il met en évidence une ligne
qui traverse tout le sud de l'Angleterre sur 600 km. Elle
démarre à la pointe sud-ouest, en
Cornouailles, au Michael's Mount, une ile de forme
pyramidale située dans Mount's Bay. L'axe traverse
des sites célèbres comme Glastonbury et
Avebury, et passe par de nombreux bâtiments religieux
dédiés à SAINT-MICHEL. |
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Pour les Irlandais APOLLON est
le MAC OC (Fils Jeune) ou bien le OENGUS
(le Choix Unique, le nordique Ingwi), Chez les Gallo-Romains
il est le Dieu du soleil, dont toutes les fêtes ont
lieu lété. Le Christianisme reprit
à son compte cette symbolique apollinienne. Celle du
Christ nayant probablement pas suffit à gagner
les fidèles du culte solaire, en particulier ceux
dAPOLLON / BELENOS, elle imagina un
antidote plus puissant ! |
Mais il y a un autre alignement, formant ainsi l' EPEE FLAMBOYANTE de SAINT-MICHEL combiné avec l'AXE visible au Nord sur les îles britaniques, ce sont pas moins de 7 sites ou il y a eu apparitions de l'ARCHANGE dans l'histoire qui comme par hasard sont parfaitement en ligne droite, cet AXE est aussi connu comme étant celui d'APOLLON. |
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Dans les années 1950, le
français Jean Richer installé en Grèce
fait des investigations à propos des temples grecs,
qu'il publie dans son livre Géographie sacrée
du monde grec. Il remarque que les temples et les Oracles
sont souvent situés à des emplacements
difficilement accessibles, ce qui n'était pas
compatible avec l'objectif d'une fréquentation
populaire. Il se demande donc quelle en est la raison. Il
pressent que ces centres étaient reliés, mais
il ne sait pas pourquoi. |
Un peu plus tard, Lucien Richer, le
frère de Jean, poursuit cette recherche, prolonge la
ligne vers le nord-ouest et vers le sud-est où il
trouve bien d'autres correspondances. Dans un article
daté de 1977 intitulé " L'axe Saint-Michel
Apollon " , il décrit cet alignement qui
s'étend jusqu'à l'extrémité de
l'Irlande, à l'ile sacrée de Skellig Michael
(visible dans Starwars 7), la ligne traverse de nombreux
sites célèbres dédiés à
St-Michel comme Saint Michael's mount déjà
nommé à la pointe de la Cornouailles en
Angleterre, le Mont Saint-Michel en Normandie, la Sacra di
San Michele dans les Alpes italiennes et Monte Sant'Angelo
dans la péninsule italienne Gargano, sanctuaire
ancien dédié à Saint-Michel; le temple
d'Artémis à Corfou, Delphes, Délos, et
se prolonge jusqu'au Mont Carmel en Israël, couvrant
ainsi une distance d'environ 4000 km. Là, il se
divise en Israël et en Égypte, puis rejoint le
site de la Mecque en Arabie Saoudite. |
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L'Arche utilise donc les mesures de la pyramide du Nord à Dahchour en Egypte, connu sous le nom de la Pyramide Rouge. Elle était la dernière pyramide construite avant la construction de la Grande Pyramide. Les mesures indiquent également 420 coudées (220 mètres) de long, 20x multiples de 21/11. L'un des cercles en pierre en Angleterre est à Rollright. Son diamètre est de 31,4 mètres, une expression précise de PI fois 10 mètres. Compte tenu de la 6 / PI, le diamètre du cercle de Rollright est aussi de 60 coudées égyptiennes antiques. |
Le site de DENDERAH en Egypte a
été dédié à HATHOR
- ISIS. Si pour beaucoup ISIS est
SIRIUS ce n'est absolument pas ce qu'indique les
créateurs gréco-romain (et égyptiens)
sur le Zodiaque de Denderah. L'année
égyptienne commence à la date du lever
héliaque de Sirius à la mi-Juillet. Le lever
héliaque de Sirius annonçait la crue annuelle
du Nil qui était essentiel pour le bien-être de
l'Egypte ancienne. L'axe du temple d'Isis à DENDERAH
est aligné à 20 ° au Sud Est pour pointer
directement vers le point du lever de SIRIUS à
partir de la latitude de DENDERAH. |
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Le professeur Livio Catullo Stecchini a affirmé qu'un certain nombre de sites à travers le monde antique était situé par rapport au méridien de longitude de la Grande Pyramide. Cette latitude était la limite nord de la visibilité de CANOPUS, avec 30 degrés Nord, non seulement la latitude de Persépolis, mais aussi de la Grande Pyramide. À 33 º nord, le point médian de cette distance, six degrés de latitude est égale à 7 º 12 'de longitude, la division des régions avec le tropique du Cancer a été considéré comme étant situé dans les temps des premières dynasties. |
Dans le modèle de Stecchini, la
zone située entre 30 et 36 degrés serait
considérée comme " la Basse-Égypte "
bien plus symbolique que pratique. Ce qui est remarquable
à propos de l'Egypte ancienne, en particulier dans
les découvertes liées à
CANOPUS,
l'étoile polaire du Sud. |
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De nombreuses lignes sont
progressivement découvertes, et en se croisant et
s'entrecroisant, elles forment un tissu
géométrique. Comme le signalait
déjà en 1939 le Major H. Tyler dans son livre
The Geometric arrangement of Ancient Sites, beaucoup de
lignes rayonnent à partir d'une intersection commune.
Ainsi 8 lignes divergent depuis l'église de Wooburn
(Buckinghamshire). |
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Les membres du Straight Track Club de
Watkins étaient très actifs et certains ont
recherché l'existence des lignes de ley dans d'autres
pays. Par ailleurs, au même moment, dans ces pays
mêmes, des investigateurs locaux
s'intéressaient également au sujet. Au cours
des années suivantes et jusqu'à nos jours,
plus on recherche ces lignes, plus on y porte attention, et
plus on en découvre partout en Europe. De plus
l'évolution technique a apporté des moyens
supplémentaires de détection de ces
alignements par des photos aériennes et encore mieux
par des photos satellites qui ont rendu cette tâche
beaucoup plus facile. |
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En France aux alentours de 1910, Xavier Guichard (1870 - 1947) étudie l'origine des noms de lieux (toponymes). Il se concentre particulièrement sur le toponyme ALESIA qui revient de façon récurrente sur tout le territoire français (plus de 400 sites). Ses déductions sont rapportées dans son livre ELEURIS ALESIA, Enquête sur les origines de la civilisation européenne (1936). |
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Selon lui, on retrouve le nom alesia
sous les formes indo-européennes Alaise, Alès,
Alis ou Alles. Il signifie point de rencontre, lieu de halte
lors des voyages. Il est étonnant de remarquer la
consonance phonétique entre alaise et ley. Mais
Guichard n'avait probablement pas connaissance des travaux
de Watkins. |
Ils sont placés le long de lignes nord-sud parallèles s'étendant dans toute l'Europe, équidistante de 1° d'arc. Cela implique que les constructeurs antiques de ces villages connaissaient les pôles et l'équateur, les mouvements des astres, le partage du cercle en 360°, la longueur du degré terrestre, enfin les coordonnées géographiques, longitudes et latitudes. Les lieux sont également répartis sur 24 lignes géodésiques qui rayonnent à partir d'un centre, Alaise, près de Besançon. Ce centre serait le centre rituel et mythique de lEurope pour le culte des vierges noires. |
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On entre là dans le domaine de
l'archéoastronomie. L'archéoastronomie
résulte de l'association de l'astronomie et de
l'archéologie pour déterminer les
connaissances et les représentations des anciens,
à partir des inscriptions qu'ils ont laissées
dans leurs monuments. Elle est née dès les
années 1960 avec des chercheurs de terrain qui en
ressentaient l'évidence. Mais elle était
rejetée alors par les universitaires. Cette situation
est en train de changer peu à peu alors qu'arrivent
à la fois de nouvelles générations plus
ouvertes et de la matière archéologique plus
abondante pour l'attester. Elle est maintenant reconnue par
l'université avec prudence, et même
étudiée. |
L'ouverture de la grotte de Lascaux en Dordogne est
orientée face au soleil couchant du solstice
d'été. Au château cathare de
Montségur, le premier rayon de soleil à
l'horizon du solstice d'hiver traverse le château dans
sa longueur par une petite ouverture. Au solstice
d'été, il traverse les quatre archères
du donjon au nord-ouest avec une précision
millimétrique. A Carnac, en Bretagne (France),
l'orientation des alignements de menhirs correspond au
soleil levant du solstice d'été. Autrement
dit, le rayon solaire balaie à cet instant tout
l'alignement jusqu'au cromlech à
l'extrémité sud-ouest. |
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Le rapport d'un site avec les constellations peut prendre
d'autres aspects. Dans certains cas, le complexe
mégalithique est bâti selon le plan d'une
constellation. John Foster Forbes (1889 - 1958), auteur avec
Iris Campbell de Giants, Myths and Megaliths, est
intrigué par des pierres situées sur le
territoire britannique, qui sont gravées de cupules.
Tandis que certains archéologues ne voient là
que des récipients pour recueillir des liquides lors
de rituels, voire même du sang, Forbes démontre
que les cupules dessinent le plan de situation de l'ensemble
du site et que ce plan représente une constellation.
Dans le paysage même, le nom des collines et des monts
reflète souvent un aspect du soleil, de la lune ou
d'une étoile. |
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La constellation VIRGO n'est pas
toujours au-dessus de la FRANCE mais elle passe par la
FRANCE. Le dessin des Cathédrales
représenterait VIRGO ou ISIS, une femme tenant un
enfant dans le premier décan de la VIERGE. Cette
femme est visible sur le zodiaque
gréco-égyptien de Dendera. |
Mais on peut dessiner une autre
VIERGE en utilisant uniquement les
Cathédrales, selon d'autres c'est l'ancienne
constalltion HORUS
enlevé du ciel qui est dessiné sur la France
sous la proctection de la VIERGE et de l'Archange
SAINT MICHEL, certainement un avatar du
HORUS
ancien. |
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En 1929, Kathryn Maltwood crée un choc avec son
livre A Guide to Glastonbury's Temple of the Stars dans
lequel elle rapporte les dessins de vastes figures se
révélant dans le paysage autour de Glastonbury
en Angleterre. Ces figures sont soulignées par les
courbes du paysage, les collines, les routes et les cours
d'eau et ne sont visibles que sur une vue
aérienne. |
Pour K. Maltwood, le zodiaque de Glastonbury peut
également être mis en rapport avec la table
ronde du roi Arthur, ses 12 chevaliers, Guenièvre et
Merlin, car Glastonbury (situé dans le signe du
verseau) est l'île d'Avalon mythique. |
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Le " GRAND G COSMIQUE " est vénéré et chanté (Hay Ya) par les indiens. ORION est la constellation la plus importante pour les Hopis. Elle symbolise, par exemple, la cérémonie cruciale du solstice dhiver. A chaque pueblo ou ruine dun ancien village hopi correspondrait une étoile majeure de la constellation d'ORION (The Orion Zone, Ancient Star Cities of the American Southwest - Une réflexion inédite sur la relation entre les villages hopis et la constellation dORION de Gary A. David, selon lui ces alignements avec la constellation dORION seraient lhéritage dune sorte de super civilisation perdue ou peut-être un message venant des étoiles. |
Pour les Hopis l'homme, à chaque émergence
recommence dans la pureté. Mais le monde nouveau se
corrompt par le mal et il doit être détruit.
L'homme alors émerge dans le monde suivant. Il s'agit
d'une longue et lente route sur laquelle péniblement
et sans répit l'homme s'avance. |
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Toute la terre est couverte de CERCLES et de Lignes.
Une construction à partir des Pyramides. Le
ciel est reproduit sur la terre. Dans cette construction, le
Nombre 33 est important car il est un puissant
symbole SOLAIRE et du ZODIAQUE. Le dernier
CERCLE (le quatrème soleil) est à
3300 kms des pyramides construites sur le 33e
parallèle. |
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