L'activité humaine contribue
à ce réchauffement localement, mais le
réchauffement se produira quand-même avec
où sans l'homme car ils sont issus de cycles naturels
bien connu de certaines civilisations. Ces informations sont
disponibles sur le site de la NASA mais les
médias ne mentionnent pas (ou peu) ces faits
d'importance capitale.
Le réchauffement climatique n'est pas du fait des
hommes, tout au plus il y joue le rôle de catalyseur.
Né des années 80 et la grève des
mineurs sous Thatcher, cette théorie ne sert que des
lobbies financiers. Une augmentation de CO2 n'arrive jamais
avant ou pendant une hausse de températures mais en
moyenne 200 ans après!
Un rapport scientifique majeur duniversitaires
japonais conclut que le réchauffement
planétaire n'est pas dû à l'homme et que
la tendance au réchauffement
généralisé depuis le milieu de
20ème siècle est désormais
arrêtée. Ce rapport publié le mois
dernier a été totalement passé sous
silence par les médias occidentaux. Ce rapport a
été entrepris par la Société de
lÉnergie et des Ressources (JSER) japonaise,
une société représentant les
scientifiques universitaires des domaines de
l'énergie et des ressources. La JSER agit en
comité consultatif gouvernemental, tout comme le fait
pour lONU le Groupe Intergouvernemental d'Experts sur
l'Évolution Climatique (GIEC)."
En France, le scientifique et ancien ministre Claude
Allègre dénonce ce complot. Claude
Allègre charge Nicolas Hulot : "Il est nul !
cest du stalinisme !" Le scientifique dénie
à lanimateur de télévision toute
compétence et le qualifie de "marchand de soupe",
taillant au passage un costard à son film, Le
Syndrome du Titanic. "Cest une honte que
lécologie soit portée par un type comme
ça", lance-t-il. Il critique en particulier son
utilisation de la peur, digne du stalinisme, au lieu de
prôner des solutions positives, qui ne vont pas
à lencontre du développement
économique.
La Haute Cour de Londres a conclu mercredi 10 octobre, soit
un jour avant quAl Gore reçoive le prix Nobel
de la paix, que le documentaire de
lex-vice-président américain,
intitulé Une vérité qui dérange,
sur les effets du réchauffement climatique, ne
pouvait être présenté dans les
écoles britanniques quaccompagné
dune notice explicative. La cour étudiait une
plainte déposée par Stewart Dimmock, qui, par
la voix de ses avocats, avait critiqué le film, Oscar
du meilleur documentaire en 2007, pour ses "graves
inexactitudes scientifiques, [sa] propagande
politique et [sa] mièvrerie". Elle demandait
linterdiction complète de diffusion du film,
alors que le gouvernement britannique sétait
engagé à lenvoyer à plus de 3 500
écoles dAngleterre et du Pays de
Galles.
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