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Cette figure énigmatique, connu
sous le nom de BAPHOMET (ou Bafomet), a d'abord
été décrit au cours du procès
des TEMPLIERS, un ordre de moines
médiévaux accusés
d'hérésie, de sorcellerie, et d'autres crimes,
initialement conçu comme un moyen de protéger
les pèlerins chrétiens à
Jérusalem. |
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L'image de BAPHOMET a
été élaboré par le XIXe
siècle par l'occultiste Eliphas Lévi (Alphonse
Constant), dans son Doctrine et Rituel paru en 1861, dans
laquelle il le nomme «
LE BOUC DE MENDES », en utilisant
des éléments à partir des
différentes descriptions. Daprès Eliphas
Levi, dans son dogme et rituel de la haute magie
BAPHOMET serait labréviation de «
Templi omnium hominum pacis abbas » (lu à
lenvers). |
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Aucune association connu du
pentagramme avec le mal nexiste avant, cest de
Levi que nous vient l'iconographie populaire auprès
des SATANISTES, pour des raisons diverses. Toutefois,
sauf pour quelques détails, la connexion de Levi
entre sa version de BAPHOMET, et l'idole
légendaire des TEMPLIERS est la plus souvent
inexistantes. |
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Chez les égyptiens le signe zodiacal des " GEMEAUX " est à l'origine de la transmission des signes du zodiaque. Les GEMEAUX sont les deux enfants du démiurge : Shou (la chaleur, le feu) et Tefnout (le froid et l'humidité) sont présentés au nez de celui qui espère recevoir la le Soufle Divin, le Soufle de vie. Dans le " Testament des Templiers " on peut ainsi lire : |
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On retrouve cependant dans les compte-rendus de procès ladjectif « bafométique » qui, en langue d'oc, serait une déformation de MAHOMET, ce qui semble fantaisiste et naurait donc à priori aucun rapport avec lidole décrite par Eliphas Levi. Le Dr Schonfield assure dans son livre « les esséniens et les templiers » paru en 1984, que BAPHOMET est la résultante dun codage suivant le code de substitutions hébreux atbash et signifierais « SOPHIA » soit la sagesse en grec. C'est une bonne blague ! On retrouve la figure de l'idole dans la lame 15 du Tarot : le DIABLE, la LUNE NOIRE et la LUNE BLANCHE. |
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Dans la mythologie égyptienne,
BANEBDJEDET
est un dieu de la fécondité et de la
génération. Il était adoré
à Tema-el-Amdid, l'antique Mendès. On le nomme
d'ailleurs « Bélier seigneur de Mendès
». Il a probablement remplacé un ancien
bélier à cornes horizontales dont la race
s'est éteinte au Moyen Empire, car il
possédait des cornes semblables. Sa parèdre
est la déesse Hatméhyt. |
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dieu bélier de Mendes |
symbole du désordre |
protecteur des bergers |
le Bouc sacré |
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Protecteur de la ville de
Mendès, BANEBDJEDET
verra son culte être associé à celui de
la déesse poisson HATMEHYT,
ce fait prend son importance quand on sait que lors des
LUPERCALES (une fête et orgie romaine) et un
culte au dieu LUPERCUS, FAUNUS, PAN, la
déesse JUNON LUCINE y était
associée. Toutes ces coutumes ont le même
principe, la croyance que certains Dieux animaux peuvent
peuvent féconder par un contact direct et même
à proximité. Une autre similitude
apparaît entre le dieu BELIER égyptien
et PAN, est quils seront diabolisés
lun comme lautre, si tenté quils
sont différents. BANEBDJEDET
deviendra dans la tradition judéo-chrétienne
le BOUC DE MENDES. |
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Sur le zodiaque de Denderah nous
trouvons CETUS qu sommet. C'est le monstre marin
grecs, qui veut dévorer Andromède sur son
rocher. La Lune est à sa gauche, une figure avec
têtes interchangeables mais elle est
représentée avec des cornes puisque les grecs
reprennent le concept de la nome égyptienne de Mendes
avec BANEBDJEDET un avatar d'OSIRIS (dieu
lunaire) et de fertilité mais aussi à
SETH. |

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Ce BELIER DE MENDES
androgyne relate la puissance sexuelle du mâle et sert
également de support à la planète
JUPITER. Mais comme il est androgyne il est aussi
féminin dans son principe, c'est à dire qu'il
peut être bon, le principe masculin
représentant le mauvais, non pas de ce que l'on
trouve en l'homme mâle, mais dans l'humanité
toute entière. C'est ainsi que la
LUNE dans la
BALEINE représente une période de
changement et d'exaltation sexuelle. |
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A Rome, le BOUC était
relié à des rituels de fertilité.
Aussi, pendnant la fête des Lupercales (ou saturnales)
étaient des purifications, alors que bien avant chez
les anciens Grecs on célébrait la fête
des loups (Lukéia) dont le terme lupercales en est la
traduction. Dans la culture européenne l'expression "
bouc émissaire " est liée au sacrifice d'un
BOUC pour expier les impuretés. Dans la
culture judéo-chrétienne, le BOUC est
devenu la représentation de l'Antéchrist et
est assimilé à Satan tout en symbolisant
également la luxure. |
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Chez les Grecs en robe on fêtait
Priape, dieu très obscène de la
fertilité quon reconnait à son
gigantesque pénis. Dans la Rome Antique on
fêtait les Lupercales, des orgies pendant les
fêtes de la fertilité. Les prêtres
touchaient le front des jeunes gens avec un couteau
imprégné du sang d'une chèvre, puis on
sacrifiat un BOUC pour lui prendre sa peau et en
faire des lanières. |
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La citation latine sur les bras de
l'idole sur le célèbre dessin d'Eliphas
Lévi, est un concept alchimique. En termes
exotérique, il se réfère à
« la transmutation des métaux », où,
grâce à l'alchimie, il serait possible de
transformer un métal de base tels que le plomb en or
en utilisant cette méthode. |

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On a donc forcé les hommes
à adopter le nouveau système pour l'âge
des POISSONS et son Dieu des poissons (la baleine /
Cetus), de nombreux auteurs dénoncent les impostures,
ils sont les prophètes. L'Eglise connait les
métamorphoses mais elle est complice. On doit la
civilisation au sanctuaire et à ses gardiens du
culte, Chrétiens, Juifs, Musulmans, et les autres ...
connaissent tous la véritable nature des religions et
le voile à enlever pour la révélation,
le secret de SIRIUS
et sa porte des étoiles a été
caché au monde depuis la nuit des temps, des signes
dans les tombes indiquent un nouveau chemin. |
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