LA KABBALE ET LA MAGIE 
Rituels et Symboles occultes pour une secte

LA NOUVELLE RELIGION EGYPTIENNE 

La KABBALE des druides et des magiciens est une autre approche mystique du mystère de la Création, proche des mythes des peuples SUMERIENS et EGYPTIENS Il y a plusieurs manières de linterpreter et de pratiquer la KABBALE, et chacun a sa perception différente de la signification des symboles et des sens. D'origine Sémite mais complètement déformée dans le temps, le socle de la KABBALE est la mystique égyptienne et son astronomie.

Elle consiste en l'étude du sens caché de la Torah, composée des 5 premiers livres de la Bible. Cette étude est basée sur diverses techniques de décryptage et de permutation des lettres, qui laissent apparaître de nouveaux sens et de nouveaux contenus. Il est dit que tous les événements de l'histoire passée et future y sont mentionnés et que chacun de nous y figure.

La KABBALE représente excatement l'ENNÉADE D’HÉLIOPOLIS des égyptiens après la réforme du culte et l'invention de nouvelles figures, c'est une mise en forme des DIEUX avec de la psychologie. Le créateur de ce système est le medecin architecte IM-HOTEP divinisé en PTAH puis en sur sa barque solaire, il est représenté par la constellation du SERPENTAIRE.

Créateur du système, IM-HOTEP était aussi un imposteur, il invente une religion à partir des anciens éléments de l'égypte. On pense aussi aue MOISE était IM-HOTEP et ses adeptes, les égyptiens chassent les imposteurs de l'égypte vers l'Est pour essayer de revenir à un culte primitif. Les juifs decendraient de cette secte aux serpents, mais l'églises et les autres religions utilisent aussi ce système avec ses codes.

Voir : Imhotep le Serpent

L’Ennéade (Pésédjet, en égyptien) est le groupe des neuf divinités de la mythologie égyptienne rassemblant toutes les forces présentes dans l’univers : le démiurge Atoum, l’humidité Tefnout, l’air Shou, la terre Geb, le ciel Nout, Osiris, Isis, Seth et Nephthys. Avec l'invention de ce nouveau culte, on remplace la tradition des anciens, le Pharaon ne gouverne plus le pays mais c'est le Temple qui prend le pouvoir. Le BA (âme) sacré de PTAH est le TAUREAU APIS, un animal proche de JUPITER - ZEUS (Dios).


JUPITER ROI DES CIEUX

L'AIGLE représente la constellation des POISSONS situé en dessous de la BALEINE, le monstre marin. Le rapace est aussi une petite mort pour l'initié aux mystère qui va maintenant voir le monde non pas comme il est, mais d'une manière différente, il n'utilise plus le prisme du système et de la religion, cependant cette méthode est aussi utilisée par les sectes pour reconditionner leurs adeptes, la vérité est encore loin.

Un corbeau sur la tête de l'AIGLE symbolise la mortification, étape nécessaire pour la réalisation de l'oeuvre. Cette fixation psychologique en alchimie n'est autre que l'intégration du langage psychologique, ce qui correspond à un lavage de cerveau pour la masse ignorante et une initiaton aux mystères pour l'élite (ou l'adepte de la secte).

Le Rebis nait de la Materia Prima et indique à l’adepte l’apparition des principes opposés, le feminin et le masculin, c'est à dire les deux POISSONS de la constellation, le masculin et le féminin enfants du Roi et de la Reine qui représentent aussi les deux principes. JUPITER lâche aussi depuis Delphes deux AIGLES, l'un vers l'Orient, l'autre vers l'occident, les deux oiseaux vont faire le tour du monde, JUPITER peut ainsi montrer que Delphes est le centre de la terre, l'AIGLE à deux tête symbolise donc l'union des deux principes masculin et féminin, le mal et le bien, ou encore l'Orient et l'Occident.


Le Livre de la Sainte Trinité
Début XV° siècle
Johann Daniel Mylius - "Anatomia Auri"
("L'Anatomie d'Or") 1628 - Planche 9

Dans l'arbre du SEPHIROT " Anatomia Auri " (l'Anatomie d'Or), l'initiation se réalise du bas vers le sommet. Du MERCURE Philosophique nait un Roi, ou un fils du Soleil, le Souffre Philosophique (ou le soufre solidifié) est représenté au dessus. En face, de l'autre côté, une Reine, fille de la Lune, est le produit de la seconde Calcination Philosophique ou élixir de longue vie. Ce troisième étage est l'étape de l’œuvre durant lequel s'harmonisent et s'unissent les forces pour donner les couleurs solaires et lunaire.

Puis, au centre, la PIERRE PHILOSOPHALE, produit de la troisième opération, est représentée par une première Reine (au milieu du troisième étage) et un Roi (tout en haut) qui possède trois couronnes. Ces trois couronnes symbolisent à la fois ses pouvoirs transmutatoires, curatifs et d'élixir; mais ils symbolisent aussi la souveraineté de la PIERRE, c'est à dire du " SOI " sur les mondes végétal, animal et minéral.

Cette réalisation Alchimique s'inspire de l'ARBRE DES SEPHIROTS que l'on trouve dans la KABBALE. Comme nous savons que la constellation des POISSONS est purement une invention fantaisiste des Mésopotamiens puis des Grecs, avant de repartir vers l'Orient et polluer toute la planète, ça en dit long sur l'état de notre monde et de nos élites, mais avec les découvertes archéologiques cela pourrait changer rapidement car avec Babylone tout est faux !

Voir : Secret des Triangles


LE ZOAR

Le texte fondamental de la Kabbale s'appelle le ZOHAR (qui signifie l'illumination). Il s'agit d'un manuel mystique du XIIIe siècle, très probablement rédigé par le mystique espagnol Moses Ben Schemtob de Léon (1250-1305), résumant l'ensemble des traditions kabbalistiques connues. Ecrit en araméen, la langue de Jésus, l'ouvrage comprend 2400 pages très denses.

Il y est notamment question de la hiérarchie du mal, ce que l'on appelle les esprit impurs des sept palais du démon. Ils constituent la polarité opposée aux dix Sefirot divines, appelées "émanations" de Dieu, issues de l'unité divinde immuable et qui procurent à l'homme bonheur et bénédiction. C'est à ces dix degrés que s'intéresse prioritairement la
KABBALE.


CONTENU ET SENS

Le secret de nombreuses sociétés secretes comme celle des francs-maçons ou de l'ordre druidique réside dans un savoir ésotérique qui est pour l'essentiel codifié dans des symboles et des rituels.Croire en ces symboles, c'est partir du principe que ces derniers traduisent une certaine réalist, une vérité qui s'exprime exclusivement à travers contes, mythes, paraboles gnostiques et autres messages oniriques. Le fait de supposer que les symboles et les rituels contiennent une profonde vérité se trouve au coeur de toutes les sociétés secrètes ésotériques. Pour ces dernières, la vérité n'est detenue par personne et doit surtout faire l'objet d'une quête permanente et sans fin, que l'on retrouve dans l'idée du voyage mystique chère aux francs-maçons et à d'autres sociétés secrètes.

Ces symboles n'ont donc de valeur qu'à l'intérieur d'un système de valeurs. Dès lors, un franc-maçon, un rosicrucien ou une sorcière auront une perception différente de la signification d'un trinagle ou d'un symbole solaire, chacun fait ce qu'il veut avec la KABBALE car personne ne peut comprendre son sens, sauf en regardant l'origine de ses codes qui viennent d'égypte, ce qui retire toute légitimité à la
KABBALE puisque les rédacteurs ont volontairement ou par ignorance détourné le sens du ZODIAQUE égyptien pour en faire une religion. C'est donc une corruption du ciel égyptien.




L'enseignement est semblable à l'épopée de Gilgamesh ou le héros mésopotamien va partir dans un long voyage à la recherche de l'immortalité avec son compagnon (son frère) Enkidu en se refusant à la femme. La quête est bien évidement un échec, l'homosexualité ne donne pas l'illumination ni l'Immortalité. Les grands maîtres de la KABBALE savent cela mais cela permet des petites fantaisies sexuelles entre amis (Frères).


UNE SECTE PSYCHOLOGIQUE

Etymologiquement la notion de KABBALE renvoie à celle de " RECEPTION " contrairement à la THORA. La KABBALE offre à l'initié la possibilité de reconnaître les différents liens entre l'homme et l'univers, entre la créature et son Créateur. Ces liens sont considérés comme autant de forces ou d'esprits à l'aide desquels l'homme peut lui aussi être façonné, à condition de savoir s'en servir. Il est en effet nécessaire de savoir invoquer certaines entités comme les ANGES, les GENIES ou les DEMONS.


La KABBALE est un ensemble de spéculations métaphysiques sur Dieu, l'homme et l'univers, qui prend racine dans les traditions ésotériques juives. Cette définition académique ne rend pas bien compte de l'universalité de la Kabbale et de la richesse des thèmes qu'elle aborde. Le mot KABBALE vient de l'hébreu (qabalah) qui signifie "tradition" ou encore "reçu par tradition". Ce mot est construit à partir de la racine (qabel) qui signifie "recevoir". Plus qu'une simple origine étymologique, "recevoir" est une clé de compréhension du processus de restauration.

Elle est un outil d'aide à la compréhension du monde. Pour ce faire, la
KABBALE met à notre disposition un diagramme synthétique : l' ARBRE DE VIE et le SEPHIROTS, des clés de lecture pour de multiples ouvrages et un foisonnement de concepts (degrés de signification, contraction, ...). En tant que tradition orale, la kabbale est probablement aussi lointaine que la date de rédaction du Pentateuque (recueil des cinq premiers livres de la Bible ).



Si l'on considère que les textes ayant inspiré les volumes les plus anciens du Pentateuque (la Genèse en particulier) ont été rédigés au Xème ou IXème siècle avant Jésus-Christ, la KABBALE orale aurait donc 3000 ans. En tant que tradition écrite, KABBALE voit le jour en plein Moyen-âge mais elle est complètement différente, son sens n'a plus la même valeur. Des loges utilisent la KABBALE comme pour l'illumination par les CHAKRAS dont celui de l'anus, qui permet selon les adeptes une élévation de l'esprit.

Le BAHIR (sefer ha bahir - "Livre de la Clarté") est considéré comme le tout premier écrit appartenant à la littérature de la kabbale. Cet ouvrage apparaît en France au XIIème siècle après Jésus-christ, sa date précise de parution ainsi que son auteur étant inconnus. Le fleuron de la kabbale écrite reste le ZOHAR (sefer ha zohar, "Livre de la Splendeur") attribué à l'espagnol Moïse de Leon (XIIIème siècle).

La
KABBALE ne se cantonne pas à un cercle restreint d'érudits juifs, elle puise ses forces dans les traditions orientales (le "sefer ha bahir" en est une vivante illustration), dans les doctrines antiques (les Idées de Platon, les substances d'Aristote, ...) mais aussi dans l'inconscient collectif (croyances populaires, rituels et magie). La KABBALE irrigue les courants ésotériques d'Europe et d'ailleurs. En ce sens, elle peut être perçue comme la clé de voûte de l'ésotérisme occidental : soit elle influence directement une doctrine, soit elle l'éclaire et offre des clés permettant sa compréhension.

La
KABBALE propose des réponses aux problèmes fondamentaux sans les éluder. Ainsi elle considère que le Néant et le Mal font partie intégrante de la création. Aucun sujet n'est vil à ses yeux : le doute, la souffrance, l'égoïsme, le sexe, le plaisir, nourrissent ses débats. La Kabbale contribue à briser les carcans de la pensée et de la morale (bien sûr pour cela elle construit d'autres carcans qu'elle incitera à détruire : la certitude est vue comme une erreur consentie. On parle alors de vérité relativequ'il faudra piétiner comme on piétine les marches d'un escalier afin de s'élever.

L'enseignement est semblable à l'épopée de Gilgamesh ou le héros mésopotamien va partir dans un long voyage à la recherche de l'immortalité avec son compagnon (son frère) Enkidu en se refusant à la femme. La quête est bien évidement un échec, l'homosexualité ne donne pas l'illumination ni l'Immortalité. Les grands maîtres de la
KABBALE savent cela mais cela permet des petites fantaisies sexuelles entre amis (Frères) ! (^^)

Les thèmes développés par la kabbale entrent en résonance avec les mythes celtes, africains, les légendes amérindiennes, la tradition des peuples d'Asie, ... Ces résonances sont notamment mises en évidence dans le symbole puissant que constitue l'
ARBRE DES 10 SEPHIROTS + celui qu'on ne peut nomer : l'ineffable YAHVÉ (certainement le nombre PI symbole du cercle, que l'on ne peut écrire ni prononcer).

La Kabbale allie les contraires apparents en révélant les paradoxes et en proposant de les résoudre. Des notions aussi éloignées que celles de forme et de force, de raison et de foi, d'inertie et de mouvement s'interpénètrent et prennent leur sens dans leur complémentarité, dans leur interchangeabilité, non dans leur stricte opposition. Cette notion s'illustre parfaitement dans l'Arbre des Sephiroth où des ensembles de symboles très divers sont reliés entre eux.

La
KABBALE ne montre pas seulement l'aspect illusoire de la dualité mais lui accorde un rôle crucial : la dualité est le moteur de l'expansion de notre conscience, un puissant facteur de progrès. L'homme ne marche que parce que les forces de frottement s'opposent à sa marche, sans ces obstacles sous ses semelles, il glisserait sur place, absurde danseur immobile.


L'ARBRE DE VIE

Les constellations et l'Astronomie Antique

L’arbre de vie est la représentation des dix Numérations (Séphirorth). Cette représentation date des environs du XVIème siècle, auparavant les séphiroth étaient représentées dans un cercle. Un codage du ZODIAQUE et des planètes.

Ce n'est aucunement un " ARBRE DE VIE " mais un " ARBRE GENEALOGIQUE " des Dieux Egyptiens ! De plus, selon les spécialistes, il ne correspond même pas à l'arborescence de l'original. En Egypte, l'arbre de vie est le SYCAMORE, une variété d'érable ,il est lié à la Déesse HATHOR et son fruit est la FIGUE qui par transposition est aussi la POMME. L'arbre des Sephiroth de la Kabbale juive date du Moyen Age alors que la Bible juive la plus complète date, elle aussi, du Moyen Age, précisément de 1008 de notre ère comme l'indique le codex de Leningrad conservé dans la bibliothèque de Saint-Pétersbourg.

Ses racines sont généralement considérées comme ayant été élaborées vers le 8ème siècle av. J.-C., pendant que les royaumes d'Israël et de Juda étaient en pleine occupation assyrienne. Ces concepts puisent leurs racines loin dans le temps pour finalement se synthétiser et se matérialiser bien plus tard, autrement dit ce sont des copies manipulées ! Les anciens Hébreux prétendent avoir été aussi dominés par les Egyptiens, il n'est pas étonnant de voir des concepts égyptiens et mésopotamiens dans leurs écrits.




Comme l'indique l'écrivain et chercheur Anton Park, tous les termes sont égyptiens et ilss ont sans doute été déclinés en hébreu par la suite. Il s'agit d'une action magique où les symboles et les chiffres sont mis à contribution. L'arbre égyptien des Sephiroth représente assurément l'assemblée primitive des dieux égyptiens. En plus des noms originellement égyptiens, on retrouve dans chacune des Sephiroth les attributs de chaque divinité de l'Egypte ancienne. De surcroît, chacune d'entre elles est à sa place dans la hiérarchie des dieux. C'est fondamental et doublement ennuyeux pour l'identité profonde de cet arbre, lARBRE DE VIE de la KABBALE est une invention purement fantaisiste !


Les Numérations sont au nombre de dix (voire le Sefer Jetsirah qui en fixe le nombre) :

1.Kether : La couronne
2.Hochmah : La sagesse
3.Binah : L’intelligence
4.Hésed : La miséricorde
5.Gébourah : La rigueur
6.Tiphéreth : La beauté
7.Netsach : L’éternité
8.Hod : La réverbération
9.Yesod : La fondation
10.Malchouth : Le royaume

Les orthographes peuvent différer selon les sources, selon les auteurs, selon les ouvrages, les explications ... Les noms, eux-mêmes, peuvent différer. Ceux qui sont cités, ci-dessus, sont les plus courant, il en existe d’autres (tel que Rachamim). A savoir, un éclair de lumière parcourt l’arbre de l’Ein Sof Or jusqu’en Malkuth, puis reprends le même chemin dans le monde suivant.



Kether
Dans Kether se trouve la Grande Intelligence Divine, le scintillement et le brillant de la Gloire Divine - cette lumière qui éclaire l’univers - cette lumière qui surpasse la gloire du
SOLEIL et derrière laquelle la lumière des mortels n’est qu’obscurité, et dont il n’est pas convenable de parler davantage.

Malkuth
Et des rayons de sa triade (Netzach, Hod & Yésod), apparaîssent ensemble trois couleurs en Malkuth et une quatrième qui en est la synthèse. Ainsi, de l’orangé tirant vers le roux de Hod et de la nature plutôt verte de Netzach apparaît uner sorte devert citron, à la fois pur et translucide.

C’est le tracé de l’éclair luminux qui mène le promeneur de Kether en Malkuth, de la couronne au royaume. Le passage en Malkuth ne signifie pas une fin, une arrivée, mais bien plutôt un nouveau départ vers un nouveau Kéther. C’est un cycle naturel, un passage dans des mondes différents aux significations, aux utilisations différentes, aisnis caractérisant l’homme dans son entier naturel.


LA KABBALE ET LA BIBLE

Un but très important de la KABBALE (ou cabale) est de retrouver le sens de la Genèse telle que MOISE l'avait écrite. Celle-ci a en effet, été déformée à travers les différentes traductions rendues nécessaires par les migrations de populations, les mélanges de races qui en ont résultés et en dernier lieu, par la traduction latine du texte grec, utilisée par l'Eglise catholique. La KABBALE est l'ensemble des traditions juives relatives à l'interprétation mystique de l'ancien testament. Il est un des plus anciens systèmes philosophiques occidentaux.

La légende dit que
MOISE a été trouvé dans un berceau sur les bords du Nil. Ceci est très contestable. Ce qui est certain, c'est qu'il a été élevé par une princesse égyptienne de sang royal qui a été sa vraie mère ou sa mère adoptive. Elle l'a élevé comme un égyptien. Il a étudié les sciences égyptiennes, les nombres sacrés et leurs symboles. Théurgie, astrologie, magie et alchimie étaient enseignées dans les Temples où MOISE s'instruisait. MOISE reçut l'Initiation d'Isis. Les chaldéens, les esséniens et les égyptiens avaient adopté le même rituel initiatique. Leurs signes de reconnaissance étaient le pain et le vin.

•1° degré : communion par le pain : mystères de la vie terrestre.
•2° degré : communion par le vin : mystères spirituels de la science divine.
•3° degré : communion par la coupe : Rédemption réservée aux prophètes et aux initiés.

Moïse pratiquait l'idiome égyptien employé sous les deux formes littéraire et hiéroglyphique. Chaque lettre ou caractère correspond à un signe ayant un sens donné. Partant de la racine et du signe de chaque lettre ou syllabe, on forme le nom qui produit son et mouvement. La racine hébraïque, arabe, syriaque, chaldéenne et éthiopienne d'un mot exprime la même idée. Le langage qui en était issu était pratiqué dans les Temples d'
OSIRIS, il était hermétiquement scellé, idéographiquement écrit et ne pouvait se comprendre sans clef. Les égyptiens se servaient de plusieurs écritures correspondant aux divers degrés des mystères et toutes hiérographiques.

Le nom égyptien de
MOISE était "Hosarsiph". La princesse royale, sa mère, souhaitait que Moïse règne sur l'Egypte ; mais lui sentait que sa mission était autre. Comme scribe, il fut envoyé en inspection dans le Delta où les hébreux étaient esclaves des égyptiens. Un jour, il vit battre à mort un hébreu par un chef, et il tua celui-ci. Il dut s'exiler au-delà de la Mer Rouge pour éviter les rigueurs de la Loi. Il alla au temple de Madion et là, après avoir expié son crime par des pénitences sévères, il comprit que de tout temps, sa mission l'avait prédestiné à devenir le prophète des bannis, le conducteur du peuple du Dieu unique. Il prit dans sa nouvelle vie le nom de "Moïse" qui signifie "sauvé" en hébreu.

Il avait conquis dans sa retraite les 7 vertus que l'initié doit posséder pour ouvrir le puits de la vérité appelé "Puits du vivant qui me voit". Moïse écrivit la Genèse en hiéroglyphes égyptiens à trois sens pour le même mot - propre, figuré, transcendant et se lisant avec une clef que nous retrouvons dans la Kabbale. Mais on ne peut déchiffrer cette écriture sans l'intuition, l'analyse et la synthèse. La Genèse, loi du Judaïsme, celle du Dieu unique créateur de l'univers, fut "révélé" à Moïse sur le mont Sinaï. D'abord orale, elle fut transcrite par Moïse qui utilisa la forme transcendante des hiéroglyphes égyptiens.

Dans ses écrits,
MOISE fait souvent illusion à la déesse Isis représentée sur les monuments égyptiens comme une femme couronnée tenant d'une main la croix ansée, symbole de la vie éternelle, l'ensemble de la nature terrestre avec sa puissance conceptrice, la nature céleste et invisible, élément propre des âmes et des esprits, lumière spirituelle et intelligible par elle-même qui seule confère l'Initiation. Les religions hindoues utilisent aussi comme symbole initiatique, la fleur de lotus.

Moïse fut l'initiateur du Monothéisme, lui qui était initié égyptien et prêtre d'Isis et d'Osiris. Il trouva un terrain favorable chez les Hébreux fixés en Egypte, au val de Goschem. Tous les sémites, éternels exilés, étaient issus du mélange des deux races rouge et noire. Certains kabbalistes, les Harodim étaient alchimistes. Pour eux, l'alchimie est considérée comme un système métaphysique de caractère spéculatif, permettant de passer de la vision opaque à la vision lumineuse. L'alchimie est à la recherche de la source du processus d'évolution, de la transmutation, de l'homme et des métaux.

C'est en Orient, au moment des croisades, que les HARODIMS descendants des patriarches hébreux (Abraham initié en Chaldée, Isaac en Egypte, Jacob d'origine phénicienne et initié en Egypte), ont connu les TEMPLIERS. Ceux-ci disaient être les descendants des Jomvikings, association nordique de l'Occident, scandinave. Ils croyaient à l'oeil frontal (3ième oeil), celui de la clairvoyance. Les HARODIMS traduisent cela par la loi du KARMA.

Quand l'homme aura atteint après bien des épreuves sa "libération", qui correspond aux sphères d'évolution supérieure, il n'aura plus besoin de se réincarner, de sortir du sein maternel "dehors". La "colonne" représente l'initié désincarné ayant des pouvoirs sur les vivants. Pour l'alchimiste, l'homme ne peut atteindre l'état de béatitude sans "brûler" ses passions et défauts, Saint Paul dit d'ailleurs (Epître aux Corinthiens, XV - 36) "Ce que tu sèmes ne prend vie qu'il ne meure auparavant". Au VII° siècle, Mahomet apporte son message au monde arabe. Il mélange la magie et l'alchimie et ajoute les incantations des versets du Coran, hélas completement mélangés, l'ouvrage n'est plus fiable. En alchimie comme en Kabbale, l'emploi des gestes, signes et attouchements ritueliques ont une portée sacrée psychologique et servent de signes de reconnaissance.

La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que plus tard sous des voiles encore moins transparents. Ainsi naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt incomprise par eux. Toutes les vraies religions dogmatiques sont issues de la
KABBALE qui est une version de la religion égyptienne, et elles y retournent. Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles.

Il y a plusieurs manières d'interpreter et de pratiquer la
KABBALE, et chacun a sa perception différente de la signification des symboles et des sens. Elle consiste en l'étude du sens caché de la Torah, composée des 5 premiers livres de la Bible. Cette étude est basée sur diverses techniques de décryptage et de permutation des lettres, qui laissent apparaître de nouveaux sens et de nouveaux contenus.



SOURCES ET LIENS






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