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Les fêtes et les mythes ont pour origine les astres, le temps et les saisons. Tout a été modifié avec l'invention des Zodiaques mais il y a toujours des liens avec ce qu'il y avait avant. La fête de Noël comme le jour de " NATALIS INVICTI SOLIS à Rome, car avant Noël, des rituels liés à lhiver et à la fin dannée existaient déjà. |
Connu aussi sous le nom de " Demeurant
en Orion ", il est dépeint comme un homme tenant
l'ankh et était sceptre debout dans un bateau
entouré d'étoiles dans un ciel nocturne. C'est
la constellation ORION ancienne avant que les trois
étoiles deviennent le baudrier de la constellation,
c'est le vrai KRIST et les trois étoiles
d'ORION sont
la couronne du ROI, la couronne de JESUS,
celuii qui revient de la mort (ou des morts), Dieu des morts
mais aussi des vivants, il est caché dans les
mystères et le paravent de la MATRICE. |
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Le mythe d'ISIS
(Aset) n'est pas exclusivement Egyptien. ISIS
(ou Aset ou Iset, en Grec) dont le nom signifie " le
trône ", est la Grande Déesse de la
création, elle a le pouvoir de ressuscité les
morts. ISIS
devint le symbole de la mère idéale (La
Déesse mère) et mère d'Horus, par
extension elle fut considérée comme la
mère protectrice des Pharaons et du pays. |
CANOPUS
se trouve à peu près au sud de
SIRIUS,
elle arrive au méridien environ 20 minutes avant de
SIRIUS.
Quand SIRIUS
atteint son point culminant dans le sud, CANOPUS
brille environ 40 degrés au-dessous; malheureusement
elle est hors de vue pour l'Europe, le Canada et la
moitié nord des États-Unis, elle
représente les profondeurs de la Terre (les
enfers). |
La Déesse de la mer est sur le
sceau du peintre Nicolas Poussin, le symbole de son secret
avec la devise " Tenet Confidentiam " (je
détiens un secret). Ce navire est aussi une
NEF,
un grand navire de la fin du Moyen Âge. La
NEF
fut avec la caravelle, le navire des grands explorateurs
voyageant aux Amériques. Elle peut aussi
représenter une Eglise qui ressemble à la
coque renversée d'un navire. |
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Durant lhiver, chaque année les hommes
attendaient le retour du soleil comme un
événement festif, un symbole despoir que
la vie serait de retour dans le paysage et que les familles
prospèreraient à nouveau. Cette
»naissance du soleil » est
célébré comme solstice
dhiver. |
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Chez les Grecs, avant les rites
préalables de purification il y avait la confession
obligatoire. En recevant la confession des gens, les
prêtres renforçaient leur pouvoir sur eux. Par
la menace, ils s'assuraient aussi que les mystères du
culte ne seraient pas trahis par les initiés. Enfin,
ils pouvaient être au courant de toutes les affaires
de la cité et tirer de nombreux profits par cette
ingérence. |
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Aucun passage biblique ne justifie ce choix. Au contraire, la naissance de Jésus a eu lieu pendant que les bergers passaient la nuit dans les champs avec les moutons. Ce n'était donc pas entre décembre et février car les nuits sont trop froides en Judée à cette époque de l'année. De plus, la naissance de Jésus coïncide avec l'époque du recensement romain : les autorités choisissaient toujours une époque de l'année au climat chaud car les populations devaient voyager pour se rendre aux postes de recensement. |
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On ne trouve pas de fête du 25
décembre dans l'église chrétienne avant
le IIIe siècle. Mais cette fête existait
déjà dans les religions païennes ! Elle
avait lieu pour honorer la naissance du fils de la Reine
babylonienne. Cette fête païenne est
rentrée dans l'Eglise en l'an 230, le chrétien
Tertullien écrit qu'à son époque, les
chrétiens ont tendance à se prostituer aux
cultes idolâtres. |
La première trace dune
fête chrétienne le 25 décembre remonte
aux années 330, à Rome. À cette
époque, la toute jeune Église cherche à
rattacher la vie du Christ à une histoire, mettre des
dates et une chronologie. Personne ne sait la date de
naissance de Jésus. En cherchant des
éléments de correspondance dans la Bible, on
décrète quil naît autour du 20, 25
décembre. |
On retrouve cette BÛCHE, tronc sans branche, entouré par le dieu-serpent ESCULAPE qui rend la vie. Ce serpent est le symbole de la médecine. Il est représenté autour de la bûche et il fait naître un palmier, symbole de victoire du SOLEIL invaincu. NEMROD, dans le culte babylonien, était le dieu mis à mort et rendu de nouveau à la vie. Sombre parodie de la promesse divine annoncée par les homme de Dieu dans la Bible. L'arbre de Noël, c'est " NEMROD REDIVIDUS ". |
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Dans les pays anglo-saxons, on embrasse la branche de gui, selon une tradition laissée par les druides. C'est une représentation héritée de l'homme-branche babylonien. Signe de réconciliation entre Dieu et les hommes, le baiser est présent dans le verset biblique du Psaume 85:10-11. Le propre du culte babylonien était de corrompre la pensée de Dieu que les auteurs bibliques annonçaient. |
Le grand cycle des fêtes du
solstice d'hiver s'ouvre le 1er novembre (Toussaint) pour
durer jusqu'au 6 janvier englobant le cycle des 12 Jours qui
s'étend entre Noël et l'Epiphanie. C'est une
unité de temps sacré qui revient chaque
année, comme une transition entre l'ancienne et la
nouvelle année : dans ce moment de crise le chaos
originel est revécu l'interférence entre le
monde des morts et celui des vivants est possible la nature
languit...d'où la nécessité de
régénérer l'univers par une multitude
de pratiques, de coutumes ou de croyances superstitieuses
aux racines très profondes et lointaines. |
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La fête de l'Annonciation du 25
mars se célèbre dans le culte catholique
romain en souvenir, dit-on, de la conception miraculeuse du
Seigneur dans le sein de la Vierge, le jour où l'Ange
vint annoncer à Marie la venue du Messie. Cependant
la Bible ne nous donne pas de date sur la visitation de
l'ange. |
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La fête de Pâques en Avril
est pour le Catholicisme romain l'occasion de
célébrer de grands rassemblements. En anglais,
cette fête porte le nom de "Easter" parce que cette
fête remonte directement au culte d'Astarté,
appelé "Ishtar" sur les monuments assyriens de
Ninive. Le culte de Bel et d'Astarté (Bel et Moloch
sont les même divinités, transposées de
Canaan en Assyrie) fut introduit en Grand-Bretagne par les
druides, "prêtres des bocages". |
Les oeufs magiques sont
présents de l'Egypte jusqu'aux rives de l'Euphrate. A
l'époque de l'Empereur Auguste, le secrétaire
de la Bibliothèque Palatine, l'Egyptien Hyginus,
écrit dans ses Fables l'origine de la déesse
VENUS
(romaine) / ASTARTE
(babylonienne) / ISHTAR
(sumérienne) : "On dit qu'un oeuf de dimensions
extraordinaires tomba du ciel dans l'Euphrate, les poissons
le poussèrent jusqu'au rivage, là, les
colombes le couvèrent et VENUS
en sortit bientôt : elle fut appelée la
déesse Syrienne." |
Dans certaines cosmogonies, la
grand déesse égyptienne vautour
NEKBETH,
est la " créatrice " de l'OEUF
cosmique avec KHNOUM.
L' OEUF
est un puissant symbole occulte des gnostiques appelé
le KNEPH,
il représente une divinité égyptienne,
considérée comme la première
émanation de l'Être suprême, le bon
génie du monde, le Démiurge, la Raison
efficace de toutes choses, et l'Architecte de l'Univers. |
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Cette fête, associée au
feu et adoptée par le Catholicisme romain tombe
à la date du solstice d'été le 24 juin.
Il est remarquable de constater qu'en Chaldée, en
Syrie et en Phénicie, le solstice d'été
était aussi lié à un grande fête
en l'honneur de TAMMUZ
qui avait donné son nom à ce mois. |
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La fête de l'Assomption a
été créée par l'église
catholique romaine au XIXe siècle pour honorer la
vierge Marie immaculée, mère de Dieu. La
doctrine qui a fondée cette fête déclare
que la vierge Marie n'a pas connu la corruption en chair et
en os, mais qu'elle a été élevée
au ciel, pour y être investie de la toute-puissance de
Dieu. Cette doctrine non-biblique a reçu le sceau de
l'infaillibilité pontificale. |
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L'église catholique a souvent
recours aux processions des idoles. Le Pape Grégoire
le Grand semble avoir été le premier à
introduire dans l'église romaine les processions
religieuses sur une grande échelle. En 590, Rome
souffrait de la peste et ce pape commanda au peuple de se
regrouper en 7 groupes par classes d'âge pour marcher
dans 7 processions différentes. En portant une statue
de la vierge, ils récitaient des litanies pour
implorer la clémence divine, et les 7 processions
convergèrent vers un même lieu. |
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Dans le système romain, le
signe de la croix et son image occupent une place
prépondérante. Rien ne peut être fait
sans cette marque, pourtant selon la Bible, la croix du
Christ est un "arbre maudit", un signe de
malédiction, cette malédiction que
Jésus-Christ a portée à la place du
monde : Christ nous a rachetés de la
malédiction de la loi, quand il a été
fait malédiction pour nous; (car il est écrit:
Maudit est quiconque est pendu au bois;) Galates 3:13. |
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Le calice (du grec Kalus, qui se traduit par coupe) est destiné à recevoir le vin consacré devenu le sang du Christ. Pour symboliser les cultes mystérieux de la Babylone idolâtre, le prophète Jérémie évoque une coupe d'or : cette coupe est fondamentale. Elle fait référence à ceux qui, voulant être initiés aux mystères de la religion des chaldéens, buvaient préalablement des breuvages mystérieux, mélange de vin, de miel, de farine et de recettes secrètes destinées à provoquer une perte de contrôle et à exciter les passions. |
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L'origine de ces cultes à
mystères remontent à Sémiramis, reine
de Babylone, qui selon Eusèbe, régnait
à l'époque d'Abraham. Licencieuse et
adonnée aux excès en tout genre, elle se
faisait adorer comme Rhéa, la Grande Mère des
Dieux (Cf Hésiode, Théogonie). |
L'auteur Pausanias évoque la
statue de la déesse Némésis,
adorée à Smyrne comme déesse de la
vengeance. Parfois elle était
représentée avec des ailes de Cupidon, et
passait pour être la déesse de l'amour
Vénus. Ceux qui participaient à ses rites
initiatiques savaient que Némésis se montrait
à eux sous un visage langoureux et libidineux mais
qu'elle était redoutable envers quiconque
révélait les mystères de son culte.
Ceci explique l'analogie qui fut faite entre
Némésis, déesse de la vengeance et
Vénus, déesse de la licence sexuelle. |
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Dans la messe catholique, l'hostie a remplacé le pain que le Seigneur Jésus avait utilisé avec ses disciples lors de son dernier repas. Et qui plus est, cette hostie se transforme : au moment où le prêtre l'élève au ciel, au cours de la cérémonie, on déclare qu'elle se transmue en corps de Christ. Le mot "hostie" vient du latin "hostia" qui veut dire "victime". On retrouve l'origine de ce mot dans le français médiéval des XII et XIIIe siècles. Pendant le culte, le curé montre l'Hostie Soleil aux fidèles en la levant des deux mains vers le ciel. Les Ostensoirs (support servant à exposer l'hostie) représentent souvent le soleil. |
La forme ronde de ses hosties
sacrées a bien-sûr aucune justification
biblique, puisque la parole de Dieu ne parle que de pain,
sans préciser davantage. Même les prescriptions
de Moïse sur le pain de la Pâque juive ne
comportent aucune caractéristique particulière
sur sa forme. C'est en examinant les autels d'Egypte que
nous trouvons la raison de cette attachement à
l'hostie ronde. Des gâteaux minces et ronds se
retrouvent sur tous leurs autels païens. Ce
gâteau Egyptiens en disque arrondi était
l'emblême du soleil et on l'offrait à Isis, car
elle était la femme d'Osiris, le dieu-soleil,
tué par Seth et que sa femme avait
ressuscité. |
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Symboliquement, avec la modification
du culte, cette hostie, gâteau de blé
païen, sacrifice non sanglant, place les fidèles
dans une réelle communion avec le monde des
démons. Elle est la coupe des abominations de la
grande Babylone. Tous les peuples communient à cette
coupe, la prophétie de l'Apocalypse est donc
réalisée. |
Le culte ISIS-NEITH
se répandit dans les
contrées de Grèce et de Rome et les
prêtres païens récupérèrent
son culte pour l'associer au culte de la déesse
Cérès. Cérès était
adorée comme la mère du blé, qui
l'avait donné aux hommes. |
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L'empereur Constantin (païen) ne
reconnut le christiannisme que par raison d'état. Il
se convertit seulement avant de mourir. On dit qu'en 324, la
veille de la victoire au pont de Milvius, contre Maxence,
l'empereur Constantin aurait vu dans le ciel le signe de la
croix, en présage à la victoire du
Christianisme avec le message "Par ce signe tu vaincras !".
En étudiant les écrits de Lactance, tuteur de
Crispus, fils de Constantin, ("De moribus persecutorum",
44), le signe de croix que Constantin vit n'était pas
un T mais le X (lettre Ch grec) du nom "Christ". Ambroise,
évêque de Milan le confirme (Ambrosii Opera,
Tome IV). |
De plus, l'histoire ne fait donc pas allusion à un signe de croix mais uniquement au nom de Christ. (Sur l'illustration, une médaille commémorative de la victoire de Constantin, frappée par Constantin II, son fils. On y voit le signe en X sur l'étendard). Dans les catacombes de Rome, on
retrouve l'inscription IN HOC VINCES X en rapport avec le
récit de Constantin : "tu vaincras par ceci". |
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La croix catholique n'est pas un
emblème chrétien, c'est le Tau mystique des
Chaldéens et des Egyptiens, la première forme
de la lettre T de Tammuz, le dieu sauveur des
Chaldéens. L'étude des monnaies antiques
permet de retrouver ce signe cabalistique. |
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Le nom de cette coupe sacrée
était KHÛS,
symbole de sa filiation avec NEMROD,
fils de Cush, le plus grand de tous les dieux
chaldéens. Le rameau qu'il tient est aussi symbole de
sa filiation. Sur le détail aggrandi de sa
tête, à droite, le signe du TAU
mystique est bien présent. |
Dans les religions païennes, la
croix n'est pas un arbre de malédiction. C'est la
Bible qui en a fait un signe de malédiction à
cause de Jésus-Christ crucifié. Dans le monde
païen, la croix était le symbole de l'arbre des
dieux, de l'arbre de vie qui engendre la connaissance et
procure la vie. C'est ce que l'on retrouve dans le culte
catholique, qui adore la croix en tant qu'arbre de vie. |
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Dieu nous rappelle avec force qu'il
juge comme une abomination le culte des images et des
pierres taillées. Pourtant, loin de se remettre en
question pour cesser une pratique idolâtre qui lui
attirera la colère de Dieu, le Catholicisme romain
est rempli de sacrifices d'adoration au pied des statues de
vierges, de saints, d'anges et de dieux qu'il revêt
d'or et de vêtements précieux. |
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Lié à Nemrod, premier
roi après le déluge, qui fut
déifié par les mystères babyloniens.
Transposé chez les grecs, c'est Bacchus qui fut le
premier dieu à recevoir une couronne (Pline,
Histoires Naturelles, Liv. 16). Osiris, en Egypte,
possédait également une couronne de
trèfle, symbole de la trinité
égyptienne (Plutarque, de Iside, Vol. 2). Le
trèfle était une plante sacrée
symbolisant la trinité des dieux. A tout roi
couronné correspondait une reine couronnée.
Bacchus couronna sa femme Ariadne dans le ciel (Ovide, les
Fastes, VIII, v. 513). |
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Le Catholicisme encourage le Rosaire,
(dont le nom médiéval a pour origine la
guirlande de fleurs dont on couronnait la vierge), grand
chapelet qui aide à compter une à une les
prières que l'on récite en boucle (quinze
dizaines d'Ave Maria, séparées chacune par un
Pater Noster). |
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L'un des traits les plus
caractéristiques du Catholicisme romain est de
consacrer des reliques : partout où s'ouvre une
chapelle, où se construit une église, il y
manque quelque chose si des reliques n'y sont pas
présentes pour "sanctifier" ce lieu. Le culte des
reliques est entré dans le Catholicisme dès le
IVe siècle, pour atteindre un sommet dans leur
vénération aux XIIe et XIIIe siècles.
Pourtant, dans la Bible la Parole de Dieu nous affirme donc
que c'est l'oeuvre du diable de vouloir plonger les hommes
dans l'idolâtrie des reliques. |
La Grèce ancienne connaissait
déjà les croyances superstitieuses aux
reliques, et surtout aux ossements des héros
déifiés, qui constituaient des formes de
piété très populaires. Les oeuvres de
Pausanias, historien grec, sont pleines d'allusions à
ces rites païens. |
|
Osiris, grand dieu égyptien,
tué par le dieu Seth, avait vu son corps
divisé en 14 reliques qui avaient été
envoyées de part et d'autre du royaume d'Egypte pour
y fonder des cultes en son honneur. Plutarque raconte
comment la déesse Isis, sa femme, se mit à
rechercher les reliques de son mari et les retrouva toutes,
sauf une, que les poissons avaient mangée. Elle
rendit la vie à son mari, qui fut alors adoré
comme le dieu ressuscité. |
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Toutes les célébrations du culte catholique ont pour trait commun de devoir être associées au feu, sous forme de cierges ou de chandeliers allumés. Il serait tentant d'y trouver une justification biblique dans l'Ancien Testament où les chandeliers brûlaient dans le Tabernacle de Moïse, puis dans le Temple de Salomon. Dans la Bible, les chandeliers étaient l'image du Saint-Esprit de Dieu, l'Apocalypse nous le confirme. |
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Pourtant les premiers chrétiens
des trois premiers siècles ne
s'intéressèrent jamais à ces
illuminations cultuelles. Elles étaient pour eux la
marque incontestable des cultes païens qu'ils
combattaient. |
C'est donc après Lactance que
ces coutumes s'introduisirent dans le Catholicisme.
L'allumage des cierges devant les statues d'idoles se trouve
dans les écrits de Eusèbe (Vita Constantini,
Liv. II, 5). Eusèbe raconte comment Licinius,
empereur romain, offrit des cierges à ses dieux pour
leur réclamer la victoire face à Constantin.
Les processions romaines étaient richement pourvues
en illuminations. |
Celui-ci était
représenté sous la forme d'un lion, tenant
dans sa gueule une abeille . Une abeille se
prononçait " Dabar " en chaldéen, et " Dabar "
était aussi le mot désignant la Parole. |
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Le culte babylonien, perversion du
culte voulu par Dieu, honorait donc son propre messie,
Mithra, comme la " Parole de Dieu " et les cierges
associés à son culte faisant de lui le "
Médiateur " qui éclaire les hommes. Ce
travestissement est passé dans tous les cultes
païens de l'Antiquité. Saturne était
honoré de cierges car disait-on " il avait
ramené les hommes à la lumière ". Le
culte de Diane à Ephèse avait pour
emblême une abeille. Son grand-prêtre
était appelé Essen " le roi-abeille "
(Müller, les Doriens, Oxford, 1830). Le
cérémonial des cierges conduit les catholiques
dans un culte blasphématoire plus subtil qu'il n'y
paraît. |
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La messe catholique est le culte
central du Catholicisme romain. On y présente un
sacrifice non-sanglant, en y renouvelant, messe après
messe, le sacrifice de Jésus-Christ pour la
rémission des péchés Mais sans effusion
de sang. |
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Les coiffes des prêtres catholiques sont aussi pleines de signification. Et elles sont complètement anti-bibliques ! Dans le Nouveau Testament, l'apôtre Paul déclare que tout homme qui prie ou qui prophétise la tête couverte se déshonore lui-même. |
La tiare pontificale est une triple
couronne qui figure sur les armoiries de tous les papes
catholiques. Cette triple couronne se retrouve dans le culte
babylonien associé au dieu Shamash, dieu solaire,
symbole de royauté universelle. |
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Ce dieu, était une figure païenne de Noé, celui qui avait survécu au déluge. Dans la mythologie babylonienne, il était celui qui avait survécu au déluge grâce à ses vertus aquatiques. C'est lui qui avait recréé le monde vivant. Le dieu OANNES / DAGON habillé d'une peau de poisson dont la gueule ouverte lui sert de coiffe. C'est ici le pendant exact de la mitre épiscopale que les prélats catholiques ont choisie. |
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La tête du POISSON
avec sa gueule ouverte existait également dans la
culte de MITHRA
(la religion catholique fut largement inspiré par le
mithraïsme) sous forme dun chapeau, aussi il
nest pas étonnant de trouver ce couvre-chef sur
la tête des évêques avec le nom «
MITRE
» qui provient directement du nom de «
MITHRA
». Le mithraïsme eut une implantation
particulière auprès des soldats romains. Comme
toutes les religions païennes, il fut
déclaré illégal en 391. |
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Les papes ont un sceptre comme tout
roi digne de ce rang se doit de posséder un sceptre,
que l'on nomme la crosse papale. Cette crosse n'est pas un
bâton de berger. C'est l'attribut sacré avec
lequel les grands prêtres païens officiaient dans
leurs cultes divinatoires. Tous les prêtres de
l'Antiquité païenne officiaient avec une crosse
de devin. La crosse étatit indispensable pour lire
les augures dans les entrailles des animaux sacrifiés
et pour annoncer des présages. |
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Abby Martin revient sur les vraies
origines de la fête de la Saint-Valentin du 14
février, fête des garçons et des filles
amoureux, qui est devenue au fil du temps une parodie
consumériste. Tout ce quon sait de Valentinus,
cest que ce prêtre de Rome fut enterré le
long de la Via Flaminia après avoir connu le martyre
sous le règne de Claude II le Gothique. |
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Le palais du Vatican est construit sur
un ancien cimetière païen, que les fouilles de
Rome ont identifié comme un ensemble de
mausolées constituant une vaste nécropole.
Dans ce cimetière, on pratiquait le culte des morts
et la divination. C'est sur des ossements tranformés
en reliques que les papes ont construit leur palais. Le mot
Vatis signifiait devin. Et le mot Can signifiait serpent. Le
" Serpent Devin ". |
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