Le Secret des Pyramides

LE SECRET DES PYRAMIDES
La Montagne des dieux Egyptiens

PIEGE A FOUDRE ET ELECTRUM

PREMIERE PYRAMIDE

Les premières pyramides sont loin d'être parfaite. La MASTABA de Saqqarah est une vaste nécropole de la région de Memphis, c'est une pyramide à degrès, il n'y a donc pas de pente. Elle connait une occupation ininterrompue tout au long de l'histoire de l'Égypte antique : de ce fait, tombes royales et sépultures plus modestes se côtoient et présentent de nombreux témoignages sur la vie quotidienne de l'Égypte ancienne, dès les premières dynasties les rois et les membres de l'aristocratie y font bâtir leur mastaba avant les pyramides à faces lisses.

La première pyramide est édifiée vers -2600. par IMHOTEP, l'architecte de Djéser (IIIe dynastie) que l'on dit être le " Grand Architecte ". On s'accorde à dire qu'il s'agit là du premier édifice en pierre de l'Égypte. Vaste enceinte enfermant des cours et répliques de temples de l'époque nous laissent un témoignage pétrifié inestimable des sanctuaires des premiers temps. IMHOTEP sera divinié dans le ciel en RA sur sa barque solaire, c'est la constellation du SERPENTAIRE.

On a découvert des ruines et des édifices inachevés dont la construction se base sur la MASTABA de Saqqarah, c'est ensuite que l'on recouvre l'édicice par d'autres pierres pour faire la pente et ainsi ressembler à une pyramide parfaite. Les constructions inachevées montrent bien le principe de fabrication, il y a aussi des pyramides ratées comme celle de SNEFROU à Dachour.

Plusieurs pyramides furent détruite pour récupérer les pierres, entre le plateau de GIZEH et MEMPHIS. Les chercheurs pensent qu'il y avait une centaine de Grandes Pyramides, les ruines permettent de comprendre la méthode de fabrication. Les premières ont probablement été dépouillées sous le règne de Toutankhamon (-1336) jusqu’au 12e siècle, puis au 19e siècle avec les Ottomans. Les Romains ont bien démoli la pyramide de Djédefrê, située à environ 8 kilomètres au nord des pyramides de Gizeh.


MATHEMATIQUE DU CERCLE

Le pharaon étant un dieu devant assurer la stabilité du monde puis devant rejoindre le soleil à sa mort, les égyptiens positionnent la Pyramide par rapport au soleil en utilisant les ombres lors des solstices. Le lien avec le fleuve est assuré par une chaussée sacrée reliant le Temple de la vallée au Temple funéraire dans un alignement Est-Ouest. Le Temple funéraire face au soleil levant. L'entrée d'une la pyramide est presque toujours au nord et la chambre funéraire est presque toujours au centre. Cependant les égyptiens pouvaient adapter la construction et l'alignement en fonction des contextes théologiques, liturgiques, etc..




Plusieurs pyramides suggèrent des longueurs de 42 coudées pour le côté des panneaux de grandes dimensions et 6 coudées pour les côtés des panneaux plus petits. Cela montre aussi que la relation entre le compteur et la coudée est de 6 / PI , en utilisant la mesure de 22/7 pour PI : 21/11 = 6 / PI et 22/7 x 21/11 = 6. La fraction 22/7 est égale à 3,1428, une expression précise de PI qui se retrouve également dans les dimensions de la Grande Pyramide.

L'Arche de la Défense à Paris utilise les mathématiques d'une pyramide. On utilise les mesures de la pyramide du Nord à Dahchour en Egypte, connu sous le nom de la Pyramide Rouge. Elle était la dernière pyramide construite avant la construction de la Grande Pyramide.

Les mesures de l'Arche indiquent également 420 coudées (220 mètres) de long, 20x multiples de 21/11. L'un des cercles en pierre en Angleterre est à Rollright. Son diamètre est de 31,4 mètres, une expression précise de PI fois 10 mètres. Compte tenu de la 6 / PI, le diamètre du cercle de Rollright est aussi de 60 coudées égyptiennes antiques.




Les côtés de la Grande Arche de la Défense sont divisés en 5 x 5 grands panneaux et au sein de chaque grand panneau il y a 7 x 7 petits panneaux. La Longueurs des côtés de 110 mètres propose des longueurs de 22 mètres pour les côtés des panneaux de grandes dimensions avec des longueurs de 22/7 mètres pour les côtés des panneaux plus petits. Ce sont les proportions d'une pyramide.


ANPU ET LE SPHINX

Le Grand Sphinx Anubis / Anpu

Le SPHINX est plus ancien que les pyramides. Les constructeurs devaient édifier une rampe pour monter les pierres, et cette rampe n'était pas centrée sur l'ouvrage à cause du Sphinx déjà sur le site. Certains chercheurs pensent qu'il a 12.000 ans et qu'il a été modifié plusieurs fois.

Le SPHINX est un symbole sacré ésotérique de l'une des étapes les plus importantes dans la transformation spirituelle, et fait partie intégrante d'un message d'éveil à gauche dans la complexe de Gizeh par un peuple avancé il ya longtemps. ANPU (Anubis) était le SPHINX qui se tenait comme la garde au passage entre ceux qui appartiennent à la physique, royaume terrestre, et ceux qui avaient atteint l'immortalité, en s'assurant que seuls ceux qui satisfait aux exigences de la résurrection.


Le Grand Chien gardien de la Nécropole

Le SPHINX a été retaillé à l'image d'un pharaon, et pour beaucoup il était à l'origine un LION. Mais ce n'est pas si évident, et si ce n'était pas un LION, qu'est-ce que c'était ? Eh bien, ça devait être un animal avec un dos droit, sans poitrine énorme, et pas de crinière. Il devait aussi être un animal accroupi avec ses jambes collées à l'avant de celui-ci. Il est inutile de regarder de trop près les pattes sur le site, car elles sont entièrement recouverte de pierres de restauration.

Le site de Gizeh (Ros Tau) est une nécropole, et il serait bien possible que le SPHINX à l'entrée était ANUBIS gardien de la nécropole, le gardien des morts. Il était souvent représenté dans la position précise du SPHINX et on le retrouve dans les tombes. Les plus anciens textes égyptiens, appelés les Textes des Pyramides, parlent souvent d'un lieu sacré associé à la nécropole de Gizeh appelé le " lac des Chacals " (ou Jackals). Selon le chercheur Robert Temple, le SPHINX et les trois pyramides de Gizeh font partie d'un concept unifié du plateau de Ros Tau, et cela faisait partie d'un culte résurrection. La position et la taille du SPHINX est déterminée avec précision par rapport aux trois pyramides, d'une manière encore jamais remarqué.

Source : New dawn magazine.com

Le Grand SPHINX s'aligne sur l'équinoxe de printemps, un temps de résurrection spirituelle que l'on trouve dans la conception de nombreux autres sites antiques du monde, également aligné sur cet événement solaire. L'un des enseignements centraux spirituels de l'Egypte est la vie d'OSIRIS, qui révèle le processus d'atteindre l'illumination ou l'incorruptibilité comme il est appelé dans les textes égyptiens. OSIRIS est tué et est ensuite ressuscité, ANUBIS ressuscite OSIRIS avec l'aide des ISIS, et forme ainsi un élément central de la conception symbolique de Gizeh.




Durant toute l'histoire de l'Égypte pharaonique, ANUBIS est considéré comme un dieu impliqué dans le jugement des morts. La plus ancienne mention d'une association d' ANUBIS à un quelconque tribunal apparaît vers la fin de l'Ancien Empire, lorsque les dieux THOT et ANUBIS sont conjointement honorés du titre de " magistrat du tribunal " (ser djadjat). Le dos long et plat, la tête courbée et le museau saillant, et les pattes à l'avant, correspondent à la forme du SPHINX et la représentation hiéroglyphique de la position couchée ANUBIS sous sa forme CHACAL (ou un jackal) dans les plus anciens textes sacrés connus dans le monde : Les Textes des Pyramides.

Ce diagramme montre le monument d'en haut. Directement en face de celui-ci se trouve le TEMPLE du SPHINX, et à sa droite se trouve la Vallée des Temples, qui dispose de deux quais en saillie à partir de celui-ci (ceux avec les pointes bleues) qui aurait amené les gens dans le site de Gizeh en bateau à l'entrée de l'ensemble du plateau de Gizeh. Une chaussée conduit de la Vallée des Temples (décalage de 14 degrés à l'est) au-delà du SPHINX. Les eaux du Nil aurait également dans la zone autour du SPHINX ,avec la création d'un LAC SACRE.

La zone autour du SPHINX a donc été creusée pour créer le LAC SACRE, et extraire les blocs géants pour construire le SPHINX et les temples de la vallée. Conforme aux événements cosmiques précises, situées au-dessus des chambres cachées, entouré par un lac sacré et une partie d'un plan directeur incroyable qui intègre les grandes pyramides en utilisant la géométrie de pointe, le SPHINX est un monument de la sagesse et de l'ampleur magnifique qui symbolise la réalisation de l'incorruptibilité par la RESURRECTION.




L'Egyptomogue Antoine Gigal a découvert récemment qu’il y avait bien dans le passé deux chiens OUPOUAOUT et ANUBIS en Egypte. Sur la stèle JE 47381 aux trois registres sont bien figurés un: « Ouapouaout de Haute Egypte, controlleur des deux Terres » (Wp-wAwt smaw aba-Tawy) et dans le registre du millieu on voit celui-ci accompagné de: « Wepwawet de Basse Egypte » (Wp-wAwt mttyt). Les deux sphinxs à l’origine aurait bien pu représenter deux canidés.

D'après les historiens arabes qui l’ont vu à leur époque, il y a l’hypothèse que l’un des deux sphinxs devaient être féminin. Al Idrisi dit clairement que le second SPHINX était féminin et situé sur la rive Est du Nil faisant face au sphinx mâle celui que nous connaissons tous. Le nom Grec SPHINX vient du verbe « sphingô » et veux dire étrangler. Les deux SPHINX face à face de chaque côté du Nil formaient comme un goulot d’étranglement, comme une surveillance sur les navires provenant de Haute Egypte ou descendant au Sud. L’emplacement du second SPHINX pourrait receler de nombreux secrets des temps préhistoriques même, avec beaucoup de choses dans le sous-sol.


La constellation Léo sur l'écliptique - Disque Gréco-Egyptien de Denderah

Le premier enregistrement de la constellation du Lion apparaît dans 1530 Av. J-C à Babylone et plus tard a été adoptée en Egypte. Toutefois, le SPHINX est antérieur à cette époque par des milliers d'années, peut-être en cours de construction au cours de 10 500 av. JC ou même plus tard. Par conséquent, il est possible que la constellation du LION a été vu par les bâtisseurs du SPHINX non pas comme un LION, mais comme la représentation du CHIEN COUCHE, gardien de la nécropole certainement en étroite relation avec l'étoile SIRIUS. On pense aussi que la constellation du LION représentait un lit avant les modifications du ciel, le lit où le OSIRIS va recevoir l'illumination.

Source : The Sphinx Mystery


Reconstitution d’une statue d'Anubis protecteur qui bordait l’allée nord du Ramesseum

Au fil du temps, la compréhension des principes spirituels a été remplacé par le matériau ou le symbolisme vide, dont les significations sont soit dépourvus de principes ésotériques ou sont tout simplement banal. Le mystère est caché au bout du un tracé sinueux, muni d'embranchements, d'impasses et de fausses pistes, destiné à perdre l'homme et garder l'édifice en place. Il y a d'autres SPHINX représentant un chien ou ANUBIS protécteur d'une cité ou d'une statuette à l’effigie du roi comme au Ramesseum de Ramsès II.

Voir : Le Secret des Chiens


LA CONSTRUCTION

Une rampe pour déplacer les pierres

Les Eyptiens utilisaient les moyens de l'époque, ils connaissaient le cercle et les mathématiques mais il n'avaient pas encore la roue (il y a très peu de bois en Egypte). Si longtemps cela a été un pystère, à Hatnoub, au sud du Caire, des archéologues découvrent par hasard une pente très raide, creusée dans le sol. Cette pente est le chaînon manquant pour prouver que ces bâtiments ont été érigés sans grue.




Exploitée dès le IIIe millénaire av. notre èrer et située à quelque 330 km au sud du Caire, près de Tell el-Amarna, une équipe franco-anglaise d'archéologues trouvent le chaînon manquant pour comprendre comment les Égyptiens ont pu, sans grues, ni camions, édifier ces colonnes de pierres aussi hautes et aussi complexes que Kheops et ses 2 millions de blocs de calcaire empilés sur 139 m de haut et 230 m de large. Cette solution, c'est une rampe glissière ! Cette rampe est creusée dans le sol, elle mesure 3 m de large et sa pente est très raide (20 %).

Autre découverte majeure : la rampe est encadrée de deux volées de marches, où à intervalles réguliers sont positionnés des trous d'environ 70 à 80 cm de diamètre : « Ils permettaient sans doute d'y installer des poteaux. Et ce jusqu'à 1 m de profondeur, ce qui laisse penser qu'il s'agissait de tirer des blocs très, très lourds », précise le codirecteur de cette mission. Jusque-là, on estimait les Égyptiens de l'Antiquité incapables d'apprivoiser des pentes de plus de 5 % à 7 %. Mais s'ils avaient des techniques permettant de maîtriser des masses très lourdes sur des pentes autrement plus pentues, cela change tout.


SYMBOLE DU POUVOIR

La Pyramide est un symbole méthamatique du pouvoir, la construction des dernières pyramide est l'aboutissement de la découverte des nombres et des calculs mathématiques en relation avec le Soleil et l'astronomie antique, mais il n'y a rien d'exeptionnel. Si le sommet pointe vers une étoile l'édifice est aussi en relation avec l'étoile polaire de l'époque et certainement e CUBE cosmique avec ses étoiles royales.

Le ciel s'étant déplacé avec la précession des Equinoxes, les pyramides antiques ne correspondent plus aux étoiles de l'origine, l'astronomie a aussi évoluée et plusieurs constellations changent de forme dans le temps jusqu'à notre ciel actuel fixé en 1938 par L'Union Astronomique. Il est donc impossible de faire correspondre notre ciel actuel avec celui de l'époque des Pyramides.




Afin de le protéger de la masse de la pyramide de Gizeh, le caveau était couvert par des blocs composant le toit de la voûte. En superposant les blocs, les Egyptiens protègent donc le tombeau de la masse de l'édifice qui pourrait s'écrouler, voilà donc pourquoi le caveau des pyramides a cette forme de chevron. C'est une double protection, on sait maintenant que l'édifice ést assez solide et ce système à chevrons n'est pas vraiment nécessaire d'un point de vue architectural, ou alors il avait une autre fonction.

On sait que le couloir principal de lhambre souterraine pointe vers THUBAN, l'étoile polaire de l'époque, le Roii se voyait réincarné à travers cette étoile qui marque le pôle Nord. Puis il y a la découverte d'un couloir secret en 2017 grâce aux rayons cosmiques (i), selon les hypothèses c'est un espace vide dont on ignore la fonction. Ce couloir vide, de neuf mètres de long sur deux mètres de large, a probablement été créé pour redistribuer le poids de la pyramide, soit autour de l’entrée principale, soit autour d’une autre chambre ou d’un espace encore non découvert.


PYRAMIDION ET ELECTRUM

Un pyramidion (le chapeau), appelé aussi benben en égyptien ancien, est un élément pyramidal couronnant le sommet d'une pyramide et plus généralement d'un monument. Cet élément architectural qui coiffait le sommet des pyramides d'Égypte est un élément important du culte funéraire des Égyptiens. On y gravait le nom du défunt et des prières pour préparer le passage dans l'au-delà

Les pyramidions les plus importants étaient composés d’
ELECTRUM et certainement d’autres pierres ou métaux précieux. Ceux-ci ont été volés par le passé, cependant, les pyramidions les plus importants qui ont été sauvegardés se trouvent au musée du Caire.

Les pyramidions les moins importants sont généralement constitués de granit ou de calcaire et se trouvent aux pieds de leurs pyramides, ce sont souvent des répliques. La plupart des originaux ont perdus leurs matières précieuses, il y a eu beaucoup de pillages, les pierres d’enveloppe ont été réutilisées pour d’autres travaux de construction sous le règne de différents dirigeants égyptiens.


Pyramidion (ou une copie) de la pyramide rouge restauré en 2005 et désormais à son pied

L'ELECTRUM est un alliage naturel d'or (de 40% à 75%) et d'argent (de 25% à 60%) mais pouvait parfois contenir des traces d'autres métaux comme le cuivre. Le mot dérive du grec « Elektron » lui-même dérivé de « Eléktor » signifiant BRILLANT, qualificatif du Soleil et épithète d'Hypérion. En grec classique, le mot désigne presque toujours l'ambre, dont les propriétés ont donné les mots français ELECTRICITE et ELECTRON. Il est de couleur jaune pâle ou jaunâtre blanc suivant la proportion d'argent, il n'est plus utilisé pour la frappe de monnaies.

Il a été utilisé dès le troisième millénaire avant notre ère en Égypte antique, notamment comme plaquage des pyramidions placés au sommet des pyramides et obélisques. Il est mentionné pour la première fois dans le récit d’une expédition envoyée par le pharaon Sahourê de la Ve dynastie. Beaucoup d’individus ont cherchés à canaliser la FOUDRE et à l’utiliser, le paratonnerre est un moyen grossier, connu depuis peu, mais des tonnes d’outils étaient expérimentés et cela bien avant Benjamin Franklin. Pour autant, l’efficacité de certains de ces outils c’est avéré non harmonieuse, parfois dangereuse et instable. Si nous parvenons à utiliser la FOUDRE, nous disposons d’une énergie colossale.




On dit souvent que les Pyramides sont des tombeaux, si les chercheurs ont effectivement mis à jour des tombes dans plusieurs Pyramides, c'était peut-être des réemplois de ces édifices, l'Egypte c'est 3500 ans d'histoire et selon les époques on change les cultes, on détruit et on adapte les Temples selon les besoins de l'époque, le SPHINX qui a été retaillé est un bon exemple de ces changements, le site de Gizeh également appelé ROS TAU (Rose Croix) était très différent avant la construction de la première pyramide qui a commence vers -2600 s'acheve vers -2570.

A part l'absence de conducteur à la terre, le pyramidion plaqué avec de
ELECTRUM constitue naturellement un PARATONNERE, c'est également le cas pour les grands obélisques. Par contre il n'était pas du tout en OR comme on le raconte souvent. La grande propriété de l'ELECTRUM est sa réflectivité importante. C’est également un très bon conducteur pour la chaleur et l’électricité. La matière de cet alliage est malléable tout en restant assez résistante à la corrosion et l’oxydation. Les propriétés mystiques, spirituelles et psychologiques du métal étaient plus importantes que sa force.

On imagine que c'était un " PIEGE A ECLAIRS ", permettant de belle cérémonies avec des manifestation mystiques avec la FOUDRE, le site des pyramides est une nécropole et des rituels avec la FOUDRE lors des orages est possible, le culte égyptien s'inspire toujours de la nature, ou encore la fabrication d'objet en utilisant l'énergie de la FOUDRE, mais il n'y a aucune preuve de cela. La pyramide est avant tout la montagne de dieu, c'est une démonstration de la puissance pharaonique sur l'ensemble de l'Egypte.


La Pyramide avec son revêtement en calcaire et le Pyramidion en Electrum

Rien n'indique qu'il y avait un système pour propager de l'électricité à travers la Grande Pyramide, on ne connait toujours pas l'usage des petits « conduits d’aération ». Il pouvait y avoir des chambres où l’initié découvrait le FEU DE DIEU lors d'un orage, un rituel d'électrocution dans un bassin,, de la vitrification en utilisant du sable pour fabriquer du verre, etc. tout est possible. Ou alors cela était simplement une illumination pour les rituels avec un paratonnerre. Par contre, il était impossible de stocker l'énergie, il n'y avait pas de batterie ! Il faut bien comprendre que l'Egypte reste primitive.

Khéops n’est pas une pyramide ordinaire, elle est une des sept merveilles du monde antique et elle témoigne ainsi du lointain passé de l’humanité. Les textes sacrés égyptiens font allusion à la présence d’un trône en fer sans pour autant donner plus de précision sur les matériaux utilisés. Nous savons que les Égyptiens avaient pour habitude de travailler le métal extrait des météorites tombées sur la Terre, cela avait beaucoup de valeur à leurs yeux.

A l'heure actuelle, le pyramidion de la Grande Pyramide n’est pas sur l'édifice, il a été déplacé à une vingtaine de kilomètres, en bas de la pyramide de Snéfrou, c'est peut-être une réplique. Il mesure un mètre cinquante sept de base et exactement un mètre de haut. Les mathématiciens sont peut-être un peu obsédés par les calculs, mais si l’on multiple par deux la longueur de la base du pyramidion, on obtient Pi en mètre (157x2=3,14). Le pyramidion est aux proportions de la pyramide à laquelle il appartient, il mesure exactement un mètre de haut, le mètre a été adopté comme unité de mesure 4.541 ans après la construction de la pyramide, cette unité de mesure ancienne a donc fortement influencé nos mathématiques modernes.


LA FOUDRE DE MIN

MIN sans doute une des divinités les plus anciennes de l'Égypte, c'est un dieu ithyphallique du neuvième nome de Haute-Égypte qui portait le nom de MINOU (la foudre de Min). Dieu de la Sexualité de la Fertilité et de la Procréation, il se confond souvent avec le dieu tardif OSIRIS (également dieu de la végétation). MIN finit par être absorbé par AMON « le Caché » pour devenir AMON-MIN, puis par HORUS devenant MIN-HORUS capable de faire taire SETH le dieu maléfique (aussi dieu de la foudre mais non canalisée).

Dans le livre biblique d'Ézékiel l'
ELECTRUM décrit l'apparence de dieu hébreu YHWH et de son trône. Lors des transformations, le dieu égyptien de la foudre MIN est certainement à l'origine de ZEUS (YHWH / Dios), lque l'on a divisé, le dieu ithyphallique PAN (ou Priape) étant un dieu mineur avec son phallus en érection.


MIN / MINOU - Dieu Egyptien Ithyphallique

L'omnipotence sur le ciel de MIN permet ainsi de proposer non pas un sens animal, végétal ou chirurgical à ce signe, mais MINERAL et CELESTE. A la fin du XIe dynastie et audébut de la XIIe dynastie, MIN est décrit sur les parois hammamatiennes comme un dieu créateur de théophanies animale, céleste et chtonienne. Mais c’est l’inscription M191 relatant un prodige apparu sous Montouhotep IV, qui énonce tout particulièrement la capacité à la fois météorologique et minérale de MIN exercée au même instant.

Sa force éternelle et sa puissance prodigieuse doivent aussi être mises en relation avec les « Textes des Sarcophages » et les hymnes qui lui sont dédiés décrivant ses capacités. MIN y apparaît comme un dieu météorologique tout particulièrement lié aux ORAGES et protecteur des MINERAUX tombés du ciel. Le sortilège 953 des « Textes des Sarcophages » compare la marche du dieu avec le grondement du tonnerre désignant « la marche militaire » et le « tremblement (ou grondement) de la terre ».


La Pierre Fulgurite

La puissance grondante chtonienne du dieu y est ici décrite par métaphore sonore de la « marche militaire ». Elle se rapproche alors du grondement orageux, vecteur de pluie dans le prodige, et tonitruant dans ce sortilège. Par ailleurs, le fléau porté au-dessus de la main du dieu doit lui aussi être considéré comme un élément visuel démontrant les capacités météorologiques de la puissance de MIN.

Le claquement des lanières perlées du fléau rappelle en effet un son spécifique produit par un phénomène météorologique d’origine orageuse, c'est un IMPACT DE LA FOUDRE avec en métaphore visuelle le son du crépitement initial et grondant de l’ECLAIR, tout particulièrement fort dans le désert.


MIN EST UN DIEU MONARCHIQUE CACHE AU PEUPLE

C’est alors au croisement des attributions chtonienne et céleste de MIN qu’apparaît une « pierre » singulière, principalement recueillie dans les déserts égyptiens, et qui combinent les capacités à la fois météorologique et minérale de MIN : la FULGURITE ou PIERRE DE FOUDRE. Résultat de la vitrification du sable lors d’un impact d’éclair, cette « pierre » d’une extrême fragilité présente de nombreuses similitudes avec le signe égyptien de MIN que l'on pesne être l'OEIL DE DIEU.

Voir : Min le Dieu de la Foudre


ELECTRUM ET REGENERATION

Les premiers Rois, en traitant les minerais (les sables), auraient été les inventeurs des arts psammurgiques, de la production des métaux, arts qui furent pratiqués très vraisemblablement à Memphis dans le temple même de Ptah. Le cuivre, l'étain, le bronze, le fer, le plomb, l'argent, l'or et l'alliage de ces deux derniers métaux, nommé ELECTRUM, étaient fondus dans des fourneaux munis de soufflets mus avec les pieds, constitués par des sortes d'outrés. Ce système était déjà utilisé au temps de Toutmès III mille cinq cents ans avant notre ère.

La production des MINERAUX confér à ce travail une dimension quasi rituelle. Il est donc maintenant possible de valider l’hypothèse que les MINERAUX précieux sont bien constitués d’une lumière pérenne et inactive, pétrifiée et immuable. On remarquera à ce propos que ce constat se trouve en complète adéquation avec le fait que la terre qui les contient est elle-aussi caractérisée par son immuabilité.

Les rituels égyptiens présentent toujours des personnages dignes et sereins mais comme préoccupés par une transcendante, un but, un objectif lointain qui oblige au maintien et à l'observation d'un code de conduite bien précis. OSIRIS est l'être de lumière, le bon, le juste, le droit, le sage, le dieu des morts et du passage à la vie éternelle, le Seigneur de la vérité et de l'Intelligence. Il est le modèle, pour tout individu qui espère vaincre la mort.

Dans le rituel de « régénération du corps »., le parcours céleste du BA (de l'âme), le corps est le réceptacle du BA dans lequel, après l’achèvement d’un cycle céleste, il revient pour se recharger de lumière. Le CORPS et le BA sont placés sur un même plan :

« Lorsqu’il aura rendu ta peau intacte grâce à l’or, il affermira tes membres grâce à l’électrum, ainsi, tu seras vivant, vivant, pour toujours, et régénéré, régénéré, pour l’éternité ! ».

Il est difficile d’expliquer la fonction exacte de l'
ELECTRUM, alliage naturel d’OR et d’ARGENT, mais il est dit que le défunt est mis en relation avec le JOUR et la NUIT de manière explicite. LELECTRUM c'est donc le JOUR et la NUIT et le résultat final est un défunt vivant et « régénéré » pour l’éternité.

« Après avoir empoigné la lune pendant la nuit, tu vas apparaître pendant le jour comme la belle lumière de Rê qui se lève sur toute la terre et qui se lève pendant la nuit en tant que lune parfaite pendant le quinzième jour de fête pour faire advenir le repos nocturne après les rayons du soleil ».

L’usage de l’OR et de l'ARGENT dans ELECTRUM, fait donc « (re)vivre » le défunt, plus précisément son corps, tout en permettant à son ba de « briller ». L’idée de « régénération » renvoie évidemment à celle de « jeunesse » retrouvée et pérennisée grâce au processus d’embaumement. C’est la même idée qui est matérialisée dans les innombrables figurations dans lesquelles le défunt se trouve « figé » dans une sorte d’éternelle jeunesse recouvrée, jeunesse immuable , obtenue grâce aux rites funéraires. C’est ce que signifie, peut-être l’emploi de l’ELECTRUM, métal fait de l’union de l’OR et de l’ARGENT, du JOUR et de la NUIT, du CORPS et du BA.

On sait qu’au cours de l’embaumement, le jb est extrait du corps et réparti dans les quatre vases canopes . Lorsque le corps momifié est placé dans le caveau, les quatre vases sont déposés non loin. Le corps est donc « démembré » à l’instar de celui d’OSIRIS.

Si l’on utilise le mythe osirien comme modèle de référence, il devient évident que le défunt se trouve dans l’impossibilité d’agir, son jb, c’est-à-dire le siège de sa volonté et de sa conscience, bref de ce qui fait de lui un individu spécifique, ayant perdu son unité. Celle-ci semble n’être recouvrée qu’après les funérailles, grâce à l’intervention d’ANUBIS, comme le montre la tombe 323 (Pached) à Deir al-Médîna (règne de Ramsès II).

Source : F. Servajean, « Le cycle du ba dans le Rituel de l’Embaumement P. Boulaq III, 8, 12-8, 16 », ENiM 2, 2009, p. 9-23.


PIERRE PHILOSOPHALE

Mais est-ce que le défunt de ce rituel est véritablement un mort ? Le rituel n'est-il pas un passage initiatique pour devenir « brillant » comme de l'ELECTRUM, un éveil de sa conscience pour l'éternité, c'est à dire la maîtrise du BIEN et du MAL, du JOUR et de la NUIT, etc..

Avec les caractéristiques de l''
ELECTRUM on pense de suite à la fameuse « Pierre philosophale », la substance hypothétique dont l'élaboration constitue le but de l'alchimie avec le pouvoir d'accéder à la lumière (la brillance) inextinguible, de donner la vie éternelle, et de transmuter des métaux, cette « Pierre Magique » étant aussi une métaphore du « sperme » provenant des organes sexuels mâles.

On sait que par syncrétisme, le dieu MIN fut identifié à AMON sous AMON-MIN, permettant à AMON de récupérer les pouvoirs de fertilité, représenté sous les traits d'un homme momiforme debout le « pénis en érection » comme un obélisque, coiffé de deux hautes plumes de faucon et tenant un fléau dans sa main droite levée.

Cette conscience absolue et la détention du pouvoir de
ELECTRUM permettrait, d'accéder à la lumière inextinguible, de donner la vie éternelle, ou de transmuter des métaux. C'est l'origine de l'ALCHIMIE secrète avec ses rituels en relation avec l'acte sexuel, la FOUDRE étant la charge du sperme mâle quand il arrive comme un ECLAIR, c'est le « le lait » du dieu MIN.





FULGURITE ET LE VERRE

Le courant dominant présente la description d'instruments égyptiens simples en cuivre et d'une poignée de sable comme outil de pour l'ancienne ttechnologie en maçonnerie. Des outils fulgaritiques sont pourtant matériau approprié pour percer des trous dans le granit, le basalte et la diorite. Les grandes pyramides de Gizeh avant d'être des tombeaux, pourraient être considérées comme des machines de fabrication d'outils à base de FULGURITE pour tailler les pierres ou faire des bijoux.

Mais il y a d'autres explications, les égyptiens aimaient les bijoux à base de verre libyque d'origine que l'on dit d'origine cométaire. Sur le pectoral de Toutankhamon, le scarabée central est taillé dans du verre libyque. Le site du verre libyque se trouve dans la « Grande Mer de Sable » du désert libyque, la majeure partie de cette zone désertique se situe principalement en Égypte. Les morceaux de verre se trouvent disséminés à la surface du sol des couloirs inter-dunaires de 2 à 3 km de large, séparant des cordons de dunes linéaires. Le verre est généralement de couleur jaune à vert clair, voire blanc pour certains échantillons. Avec la FOUDRE, les pyramides pouvait servir à la fabrication de verre, cette théroie n'est pas des plus répandues.

La présence in situ d'outils préhistoriques nous amène encore plus loin dans le passé, au Néolithique (9 000 avant notre ère), époque à laquelle le Sahara n'était pas un désert. On rencontre sur le terrain de nombreux sites de taille de verre libyque qui ont dû participer à sa dispersion. Le verre libyque contient des inclusions de natures diverses, en particuliers des minéraux. Certains anciens auteurs auraient décelé des pollens au sein du LDG, ce qui lui conférerait une origine sédimentaire ; d'autres y auraient identifié des formes rappelant des bactéries. Aucune de ces inclusions anciennement décrites n'a pu être confirmée ou retrouvée par des études modernes.

Ce verre serait d'origine purement terrestre d'un processus de gélification sol-gel ou une origine thermique. Une autre hypothèse montre une origine associée à un impact de météorite ou de comète. Il s'agirait alors de tectites. On propose aussi que le verre libyque soit une impactite, mais une impactite non associée au choc, née de l'explosion probable d'un impacteur incident qui n'aurait pas atteint le sol, mais qui aurait explosé en altitude dans l'atmosphère. Les analyses géochimiques réalisées permettent de conclure que le verre libyque est une impactite Le résultat de la fusion à haute pression et haute température d'une couche terrestre provoquée par l'impact d'un objet extraterrestre d'origine et de signature chondritique ou cométaire.


LE CUIVRE EN EGYPTE

Dès l'Ancien Empire et peut-être même dès l'époque prédynastique (avant environ 3100 avant notre ère) , l'Egypte devait dépendre du commerce extérieur pour l'approvisionnement en cuivre : il s'agit alors non d'un cuivre pur mais d'un cuivre allié à l'arsenic naturel. C'était donc particulièrement dur, le bronze alliage de cuivre et d’étain et de plomb n’était pas encore en usage.

Les métaux sont rares, les égyptiens importent depuis les ports. Les minerais de cuivre étaient extraits et fondus dans le désert oriental et dans le Sinaï pour fabriquer des outils agricoles tels que des houes et des faucilles, ainsi que des ustensiles de cuisine, de la vaisselle et des outils d'artisans tels que des scies, des ciseaux et des couteaux.

Sans le cuivre les pyramides n’auraient jamais été construites. La consommation en été telle qu’une ligne logistique permanente fut établie entre les mines du Sinaï et le chantier, comme en témoignent les fouilles récentes de Ouadi el Jarf menées par P.Tallet de la Sorbonne. Le deuxième usage, moindre en quantité mais pas en importance, fut de contribuer à la réalisation des pistes de roulement pour assurer le transport des blocs. Le symbole alchimique du cuivre se rapproche étrangement de « Ank » la clé de vie que les dieux égyptiens tiennent systématiquement à la main.



SOURCES ET LIENS




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